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jeudi 30 déc 2021

Commentaires

laurent Worms

Pour ma part, historiquement parlant, je ne connais aucun dictateur, aucun régime totalitaire qui n'a pas terminé sa course dans un effondrement économique sur le plan interne.

RR

@ laurent Worms


Lorsque le général Augusto Pinochet a quitté le pouvoir, son pays se portait fort bien et notamment économiquement. C'est bien là une démonstration qu'une politique sociale antifiscaliste, non-redistributiste, bref de liberté où chacun bénéficie des fruits de son travail est le bon choix.
Cela ne signifie pas que les plus modestes sont des laissés pour compte: Ils ont la possibilité d'évoluer mais à la condition de se prendre en main en toute responsabilité pour se former via des formations internes en entreprise ou à l'extérieur dans des écoles dites "de seconde chance". En revanche, les parasites sont exclus et c'est normal. On ne les prend pas en charge.
Toutes les structures de la Gauche sont interdites, c'est normal et légitime car outre qu'elles sont cosmopolites donc représentent un danger pour l'existence même du Peuple, via leurs positions collectivistes elles prônent un système qui vole aux uns (pas seulement aux "très riches") pour redistribuer aux autres (notamment aux parasites tout en conservant une bonne partie du butin pour la "Nomenklatura").

RR

Poursuivons (et là je ne parle plus du Chili mais du projet social optimal à construire) à propos de la promotion des classes sociales du bas: L'enseignement est la clé pour s'élever dans la société, Louis-Auguste Blanqui l'avait parfaitement compris et disait qu'on n'arrive à rien sans être instruit.
Dans une société de liberté, des partenariats librement contractés entre entreprises et écoles (privées) doivent être la règle. Et ce à tout niveaux. Les formations longues doivent être d'un prix abordable, possible si le personnel enseignant et non-enseignant est préservé de contraintes fiscales et l'établissement de taxes foncières. Des prêts pourraient éventuellement être accordés par des caisses "corporatives" qui à la différence de ceux octroyés par les banques seraient sans intérêt spéculatif.

RR

Fructueuses reconversions sur fond de magouilles, le nouvel éditorial de Bertrand Renouvin:

https://bertrand-renouvin.fr/elites-vendues-elites-a-vendre/#respond

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