La route paraît bien longue qui pourrait conduire l'Hexagone à une réforme de l’État. La suppression annoncée de l’ENA, – c'est-à-dire plus précisément, à ce jour, son changement de sigle puisqu'elle serait rebaptisée Institut du Service Public, – ne servira à rien. Peut-être même servirait-elle à jeter les bases d'une technocratie plus nuisible encore, si on ne se débarrasse pas d'abord de l'étatisme, considéré comme un pilier du modèle social français.
Il ne s'agit pas seulement en l'occurrence d'un simple tropisme propre à la classe politique : il s'agit bien d'un courant de croyance majoritaire dans l'opinion. La France n'en détient pas le monopole : il a fallu en effet des circonstances politiques bien particulières, parfois même des périodes de dictatures, dans les quelques pays dont on peut citer l'exemple d'un retour bienfaisant à la case liberté économique. Si l'Angleterre a pu sortir du socialisme sous le gouvernement de Margaret Thatcher, entre 1979 et 1991, la Corée du Sud a connu son remarquable essor entre 1968 et 1987, sous un pouvoir beaucoup moins parlementaire, ce qui lui a permis à partir des élections de 1987 de figurer au nombre des pays forts, prospères et libres.
Il nous semble donc indispensable, s'agissant de la France, l'un des pays les plus étatisés du monde avec 57 % de dépenses publiques, et l'un des plus centralisés puisque tout se décide à Paris, de s'interroger d'abord sur l'état de l'opinion.
Les Échos et Radio Classique ont fait réaliser à ce sujet une enquête par OpinionWay.
Il en ressort, et c'est un des points les plus significatifs, que trois Français sur quatre pensent qu'une solution de la situation repose encore sur la taxation des hauts revenus.
Si on observe que, par ailleurs, leur préoccupation économique pour l'après-coronavirus serait la relocalisation, on ne manquera pas de s'interroger sur l'évidente contradiction.[1]
Un Véran, par exemple, toujours dans la funeste logique du plan Juppé de 1995-1997, pense la médecine sans médecins, ou dans le meilleur des cas, pilotée par des docteurs diplômés certes en médecine, mais non praticiens, qui, ne voyant pas de malades, ne soignent personne. On en voit le résultat dans la crise actuelle. Et chacun peut mesurer, dans ce domaine, le décrochage d'un pays qui s'enorgueillissait naguère de son système de soins.
Eh bien l'idée, hélas actuellement populaire, d'une relocalisation idéelle, décrétée par la haute administration, suppose de la même manière, une industrie sans industriels, c'est-à-dire sans entrepreneurs – l'emploi sans employeurs.
Ah mais, dira-t-on, en France, il y a l'État… c'est bien là précisément le problème.
Rendons grâce à Bruno Le Maire de s'être engagé à ne pas augmenter les impôts. Quand Darmanin faisait office de ministre des Comptes publics, il ne disait pas autre chose. Or, dans l'équation actuelle, on peut se demander comment une telle promesse pourrait bien être tenue.
En effet, six Français sur dix donnent la priorité au soutien à l’économie, qu'ils pensent nourrir par plus de subventions, à commencer par Air France ou la SNCF, bien sûr, mais également à toutes les industries qui ne marchent pas.
Cet auditoire définitivement drogué à la dépense publique prétend certes, du moins 73 % des sondés, se préoccuper aussi du danger de surendettement national.
Et comme ils persistent à s'affoler à l'idée du recul des services publics, désormais associés par l'idéologie jacobine au mythe égalitaire… on voit mal comment concilier tout cela avec les promesses de Darmanin puis Bruno le Maire, présentés comme la garantie droitière de la Macronie.
Personne ne semble disposé à rappeler que les vraies tâches régaliennes de l'État, des régions ou des communes sont largement dépassées par l'invasion administrative actuelle. Au contraire, sous prétexte de transition écologique, c'est un élargissement des dépenses qu'envisage généreusement, et cette promesse-ci paraît en passe d'être tenue, la partie la plus sectaire de la classe politique.
Loin de combattre tous les mensonges associés à de telles croyances, la citadelle de Bercy vient de publier ses projections rêvées pour les finances publiques dans les prochaines années. La dette serait stabilisée encore que le retour du déficit sous la barre des 3 % du PIB ne se réaliserait pas avant 2027, à condition de limiter la hausse des dépenses au taux moyen de +0,7 % par an en supposant une absence d'inflation.
Qui peut croire un tel programme ?
Quelle drogue addictive, sinon la dépense publique, nos dirigeants ont-ils fumée ?
JG Malliarakis
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[1] cf. L'Insolent du 19 avril "Les vraies causes de la délocalisation".
Ils ont fumé la drogue du mensonge à soi-même, qui est hélas l'un des vices caractéristiques du pays. Pas seulement de ses dirigeants.
C'est ainsi qu'on a pu voir, récemment, un mouvement révolutionnaire réclamant à la fois une chose et son contraire : moins d'impôts et plus d'impôts ; un Etat moins envahissant et un Etat plus présent. Je pense, bien sûr, aux Gilets jaunes.
Le mensonge à soi-même est aussi au coeur de l'illusion socialiste, profondément enracinée en France.
Et il est, également, au coeur de l'illusion gaulliste -- tout le monde, ou presque, est gaulliste en France.
Le péché originel du gaullisme est tout simple. Le général avait fait le calcul (correct) que la guerre était gagnée d'avance, pourvu que Soviétiques, Anglais et Américains se liguent contre l'Allemagne nazie.
Partant, son rôle dans la France libre ne fut que du théâtre. Pendant que les Alliés se cognaient le boulot, lui s'employait à cultiver ses intérêts politiques personnels, consistant à s'assurer la direction du pays une fois la paix revenue. Quitte à entraver très concrètement l'effort de guerre, à d'innombrables reprises, dans le but d'éliminer ses rivaux.
Quelques beaux discours patriotiques servirent de cache-sexe à cette entreprise de trahison. Ils font encore illusion aujourd'hui.
Comme, de plus, le général de Gaulle s'était entiché de socialisme, et a cru pouvoir proposer à Staline une alliance secrète pour gouverner l'Europe à deux une fois la paix revenue, dans un sens anti-libéral et anti-américain, les communistes sont arrivés au gouvernement, sous direction gaullienne, en 1945 ; ils ont réalisé leur coup d'Etat silencieux par le noyautage de l'économie (Sécurité sociale, statut de la fonction publique, nationalisations...).
De Gaulle a démissionné en 1946, incapable de gérer le bazar, et nous souffrons du résultat encore aujourd'hui.
Rédigé par : Robert Marchenoir | vendredi 23 avr 2021 à 13:43
Cela fait des dizaines d'années qu'on lave le cerveau des français que libéralisme égal Grand méchant loup et que l'État est la solution à tous les problèmes.
Le sondage de Radio Classique / Les Échos est donc symptomatique: On induit la température, puis avec le thermomètre on voit qu'elle est élevée. Une autre illustration, bien triste. Les gilets jaunes se sont révoltés contre un nouvel impôt mais voulaient plus de service public....
Rédigé par : Laurent Worms | vendredi 23 avr 2021 à 14:01
Tout ce qui est dit dans cet éditorial est hélas exact.
Le recours permanent à l'État est profondément ancré dans la mentalité de la grande majorité des Français et par ailleurs le centralisme du Pouvoir est une tradition française qui perdure depuis des siècles, le Jacobinisme l'a encore accru, suivi par le Bonapartisme et enfin le Gaullisme avec la funeste Vème "République".
C'est une spécialité typiquement française même si l'expérience fasciste italienne héritière du Jacobinisme - à la différence du phalangisme espagnol à ne pas confondre avec le Franquisme, et le bolchevisme russe lui-aussi héritier du Jacobinisme ont montré que c'est un "modèle" exportable aussi funeste soit-il.
Seule à mon avis l'Europe par un accroissement de ses prérogatives et sous l'influence d'autres "modèles" tels que le fédéralisme allemand, la constitution suisse, et autres, peut nous libérer de cette oppression. Le réveil des identités provinciales (bretonnes, alsaciennes, occitanes,...) doit aussi aller de pair et ne pas se contenter du "localisme" mais d'une affirmation politique et démocratique dans une Europe unie.
En quelque sorte, une synthèse de Guillaume Faye et de François Fontan.
Rédigé par : RR | vendredi 23 avr 2021 à 14:02
La fonction publique se comporte comme des métastases dans un corps vivant.
Sauf exception, elle ne produit rien de valable, s'étend, consomme de l'énergie dont elle prive les parties saines.
De plus, un cancer finit par tuer le malade si des mécanismes de correction ne reprennent pas le contrôle.
À quand un vaccin contre les métastases de la fonction publique ?
Rédigé par : Pythagore | vendredi 23 avr 2021 à 17:46
La seule et unique manière pour le gouvernement de mettre de l’argent dans une entreprise privée ne peut et ne doit être que par la nationalisation, partielle ou totale*. Le gouvernement n’a pas à distribuer ces subventions qui sont souvent un véritable gaspillage d’argent public et qui de plus ne sert souvent à rien : ce n’est pas en donnant de l’argent aux patrons qu’ils vont créer des emplois s’il n’y a pas de travail à leur donner. Ce travail, et l’embauche qui va avec, viendra avec le carnet de commandes, commandes qui ne pourront se faire qu’avec une relance de la consommation, elle-même conséquence d’une hausse du pouvoir d’achat. A la base, et je me répète, c’est des augmentations de salaires qu’il faut ! Bien évidemment, pour éviter ce que l’on a vu en 1983, ce ne peut se faire qu’avec des frontières protectionnistes pour que ces hausses de salaires achètent français de préférence.
* Et franchement, on ne voit pas pourquoi le gouvernement ne pourrait pas le faire quand on sait que le couple Tapie-Borloo a fait fortune en rachetant des entreprises pour 1 Franc symbolique et les revendant ensuite avec profits après « restructurations ».
Rédigé par : Françoise de Savigny | vendredi 23 avr 2021 à 18:01
Qu’on se rappelle la 1ère année Hollande et la hausse importante des impôts qu’il y eut. C’est ce que Sarkozy avait prévu de faire s’il avait été réélu : faire payer au contribuable une Dette qu’il a triplé lors de la crise de 2008 ! C’est ce qui pend au nez des français s’ils ne sont pas aussi intelligents qu’en 2012, en réélisant quelqu’un qui fera ce que Sarkozy n’a pu faire ! En outre, vu que Macron ne peut se présenter pour un 3ème mandat, nul doute qu’il va se lâcher comme jamais ! Un conseil s’il est réélu : quittez la France !
Rédigé par : Françoise de Savigny | vendredi 23 avr 2021 à 18:08
@ Françoise de Savigny
Tout à fait. Il faut augmenter les salaires. Il y a un gros bouton dans le bureau du président de la République, et quand on le tourne vers la gauche, ça fait monter les salaires.
Mais la plupart des présidents sont de gros imbéciles, ils ne savent pas où se trouve le bouton. Il faut élire un président qui connaisse le placard secret où se trouve le gros bouton à salaires.
Après, on tourne le bouton, et ça fait pleuvoir du pognon sur les n'infirmières (qui sont gentilles).
Les n'infirmières courent s'acheter de jolies chaussures, et ça fait de la relance. Plus on dépense, plus on est riche. C'est magique.
Les présidents sont tellement stupides, qu'ils ne comprennent pas qu'il y a une machine à produire de l'argent gratuit dans leur bureau. Ils sont bêtes, les présidents.
Ils ne se rendent même pas compte qu'il faudrait nationaliser les entreprises. Comme ça, elles seraient branchées encore plus directement sur le gros bouton à salaires, et le bienfaisant argent gratuit des autres ruissellerait à torrents sur la tête des travailleurs.
Bien sûr, il faut aussi que le président baisse le gros levier dans le placard secret qui ferme les frontières. Comme ça, on serait pas embêtés par les produits des méchants étrangers. On serait enfin auto-suffisants, comme la Corée du Nord, comme l'Allemagne hitlérienne.
Les gentils paysans français produiraient du chocolat français, du poivre français, du riz français, qui sont tellement meilleurs que toutes ces saloperies étrangères.
Nous pourrions enfin réindustrialiser la France, et d'ailleurs on pourrait créer une ville nouvelle nommée Togliatti, pour y produire les fameuses automobiles fronçéses Jigouli, que le monde entier nous enviera.
Les bouffeurs de choucroute pourront toujours aller se rhabiller, avec leurs BMW à la con, et je ne vous parle pas des bridés avec leurs Toyota ridicules.
Rédigé par : Robert Marchenoir | samedi 24 avr 2021 à 09:49
Marchenoir, la noble dégénérée que je suis vous a déjà prévenu une fois et vous pouvez vous gardez vos propos racistes pour vous ! Vous voulez quoi ? Qu'on soit payer comme Chine peut-être ? C'est sûr que ça va permettre de générer du pognon pour ces patrons qui n'ont en jamais assez. Si c'est ainsi que vous concevez l'économie, je suis heureuse de ne pas le partager ! Une dernière fois, allez vous faire f. !
Rédigé par : Françoise de Savigny | samedi 24 avr 2021 à 21:06
Libre circulation de la banane et du poivre, mais aussi des travailleurs immigrés pour fabriquer les BMW… et casser salaires et conditions de travail, d’où l’insuffisance des salaires actuels !!!
On se demande franchement ce que ce sarko-macroniste immigrationniste avoué et avéré de Marchenoir vient faire ici !!!
Rédigé par : Françoise de Savigny | mardi 27 avr 2021 à 07:22
Est-il possible d'être aussi sotte que vous, Françoise de Savigny ? Aussi sotte, et aussi dépourvue du sens de l'humour ? J'ai croisé beaucoup de trolls dans ma vie, mais des comme vous, rarement.
Oui, je vous le confirme, je suis raciste anti-communiste. Je voue une haine tenace à cette race qui a fait cent millions de morts, et qui continue.
Je pense qu'il faut se livrer à la discrimination la plus extrême contre cette catégorie de la population, lui interdire la fonction publique, la cantonner dans des sections marginales de la société où elle pourra faire le moins de mal possible.
Et bien sûr, la forcer à la repentance, l'obliger à s'excuser pour ses crimes.
Tout d'abord, il conviendrait de convoquer un tribunal de Nuremberg du communisme, où un certain nombre de responsables seront condamnés aux peines qu'ils méritent.
Puis, il faudrait créer une journée nationale de la honte communiste, où des coupables de moindre acabit seront forcés, chaque année, de monter sur une estrade d'infamie, dressée sur la place principale de chaque commune, afin de confesser leurs crimes à la population, qui leur lancerait des tomates -- en alternance avec les oeuvres complètes de Ludwig von Mises.
De sorte que les jeunes enfants n'oublient jamais l'horreur communiste. De sorte que nos descendants ne voient Plus Jamais Ça.
Entre deux bordées d'insultes à mon égard, telle une tricoteuse de la Révolution ou une pétroleuse de la Commune, vous vous demandez : "On se demande franchement ce que ce sarko-macroniste immigrationniste avoué et avéré de Marchenoir vient faire ici !!!"
A ce stade, je suis inquiet pour votre santé mentale. Avez-vous fait un test de QI ? Vous en êtes à combien ? 85 ? 70 ?
C'est plutôt à vous qu'on devrait demander ce que vous venez faire ici. Ce blog est anti-communiste, anti-étatiste, libéral. Vous croyez vraiment que ses commentateurs vont se laisser intimider par une harpie communiste nouvelle venue, telle que vous ? Vous prenez des drogues ? C'est le résultat d'un pari stupide avec des amies ? Vous êtes dans un asile d'aliénés ?
Non seulement je ne suis pas "immigrationniste", mais je me fais traiter de "raciste" du matin au soir en raison de mon opposition résolue à l'immigration de masse et à l'islamisation.
Je vois d'ailleurs mal comment vous pouvez, à la fois, vous prétendre opposée à l'immigration, et traiter les gens de racistes. Si vous êtes vraiment opposée à l'immigration, c'est vous, la "raciste".
Enfin, je n'ai jamais parlé de Macron ni de Sarkozy. Ils semblent vous obséder. On se demande bien pourquoi.
Il y a une race de décérébrés qui pensent que le plus important dans la vie, ce qui dénote l'homme de vertu, c'est de haïr le président de la République du moment. Quelques arguments de votre part seraient les bienvenus. Tout le monde ne fait pas partie de votre secte, je vous le signale.
Enfin, j'ignore si vous l'avez remarqué, mais ce blog, en plus d'avoir des positions absolument contraires aux vôtres, est d'une certaine tenue intellectuelle. La moindre des choses, si vous voulez y commenter, est de vous efforcer d'y apporter des contributions d'un certain niveau.
A cet égard, vous ne nous avez toujours pas expliqué comment on pourrait "augmenter les salaires", ainsi que vous le réclamez depuis plusieurs commentaires maintenant. Et encore moins comment on pourrait procéder à des augmentations aussi délirantes que celles que vous réclamez.
Mais insulter les gens, hurler, vous rouler par terre comme un gamin mal élevé, ça, vous savez faire -- jetant ainsi le discrédit sur votre sexe, au passage.
Rédigé par : Robert Marchenoir | mardi 27 avr 2021 à 14:44
Marchenoir, une fois de plus relisez-vous, les insultes, vous avez été le 1er à me les envoyer ! En outre, je suis encore plus anti-communiste que vous puisque j'estime que les islamo-collabos devont partir avec les islamistes. Enfin, vous êtes bourré de contradictions en tant que libéraliste qui est la cause de l'immigration de masse. Contradictions quand vous me traiter de communiste en citant... Hitler en terme de protectionnisme, faudrait savoir ! Et ici on n'a pas besoin de traiter les chinois de "bridés", les allemands de "bouffeurs de choucroute"et j'en passe, ce n'est pas ça qui fera avancezr la Cause, une cause que vous discréditez par vos propos qui ne peut que faire fuir une personne qui hésite encore à nous rejoindre et vous lisant en conclura que ces "faschos" sont indécrottables, intolérants et insultants à l'égard même de personnes de leur propre famille politique, mais pas tout à fait de la même obédience, c'est dire à quelle point à cause de vous on ne sera jamais au pouvoir ! J'ai suffisamment de QI et de décence surtout, pour ne pas avoir jusqu'à présent relevé votre insupportable pédanterie (SMIC au lieu de SMIG) qui démontre que l'instruction ne compense pas l'absence d'intelligence, ce qui est manifestement votre cas ! Bien au contraire, nombre de benêts savent que s'ils l'ouvrent ils vont passer pour des c. ce qui prouve qu'ils ne sont pas si c. que ça ; par contre, certains sont tellement c. qu'il faut qu'ils en rajoutent prouvant ainsi, comme vous, à quel point vous êtes encore plus c. que c. ! Faudrait même spécialement pour vous inventer un mot qui n'existe pas encore !
Rédigé par : Françoise de Savigny | vendredi 30 avr 2021 à 08:25
Assez stupéfiant de voir la seule femme qui s'exprime ici s'y faire insulter de tous les noms : noble dégénérée, sotte, QI de 80, troll, j'ai une BMW à la con, tricoteuse de la Révolution ou une pétroleuse de la Commune, harpie communiste, droguée, aliénée, décérébrée, membre d'une secte... et c'est moi qui agoniserais d'insultes ce con de Marchenoir selon lui ? Mais on est à la maternelle ou quoi avec cet abruti sexiste, raciste et machiste incapable d'argumenter autrement que par l'insulte ? D'ailleurs, et je te le répètes connard, je ne suis pas là pour discuter avec toi, alors tu me lâches une bonne fois pour toutes où je me verrais obligée de recourir à d'autres moyens pour me faire respecter !!! Faudrait pas le voir directeur d'un hôpital celui-la, pour les infirmières ce serait marche ou crève ! Fumier !
Rédigé par : Françoise de Savigny | vendredi 30 avr 2021 à 15:31