Le scrutin municipal du second tour, qui se déroulera ce 28 juin, semble voué à un retour de la gauche. Si, dans les villes moyennes de plus de 10 000 habitants, la droite entame sa reconquête du pays réel, dans d'autres municipalités, hélas politiquement plus significatives, où l'addition des bobos, des retraités et des assistés pèse de plus en plus lourd, la coalition de la gauche et des khmers verts risque de prendre un ascendant fâcheux. De façon emblématique, dans la Capitale, on peut ainsi craindre la survie de celle que, l'année dernière encore on donnait pour battue d'avance, la très nuisible camarade Hidalgo.
Cette poussée des unions "écologistes plus marxistes", dans les centres urbains de nos grandes métropoles, ne peut qu'engendrer des conséquences négatives. Cela se traduira plus ou moins rapidement en termes de nécroses économiques, commerciales et même immobilières, aggravant leurs délabrements financiers.
Comme conséquence politique immédiate visible on risque fort d'assister à l'éclipse, au moins partielle, de l'arrogance du parti qui s'est emparé en 2017 de la présidence de la république et de la majorité des sièges au palais Bourbon sous son sigle dérisoire de LAREM, désormais en marche arrière à force d'être au point mort.
Mais un tel déclin, de plus en plus menaçant, non pas même pour la réélection, mais déjà pour l'hypothèse d'une candidature du tenant du titre, en vue de l'élection présidentielle de 2022, change-t-elle, en elle-même, quelque chose quant à l'idéologie dominante dans notre malheureux pays ? On peut se le demander.
Le 19 juin à l'Assemblée nationale, la commission des Lois se prononçait par exemple sur un dispositif très important de la lutte antiterroriste. Cette instance clef du travail législatif est présidée par Yaël Braun-Pivet, députée fraîchement élue en 2017 par la cinquième circonscription du Département des Yvelines. Le personnage s'était fait connaître du grand public en 2018 par sa conduite, plus que controversée, de l'enquête parlementaire sur l'affaire Benalla. Et la majorité de ses collègues appartiennent au même parti, celui qui se revendique de "la république en marche" ... et ils proviennent aussi de la même souche génétique : le parti socialiste. Elle-même, si l'on en croit son édifiante fiche Wikipédia, était auparavant "trésorière de la section du PS à Tokyo".[1]
Or, au nom de libertés détournées de leur véritable objet, la majorité de sa Commission a cru intelligent d'empêcher un dispositif très important pour la sécurité des Français compte tenu du nombre des mises en liberté sur le territoire national [2]l'obligation du bracelet électronique.
Prétendant plus efficace le pointage au commissariat pour le suivi des terroristes sortis prison, ce sont bien les députés du parti présidentiel actuel qui ont censuré le bracelet électronique, le seul instrument qui permette la localisation permanente donc efficace en vue de la surveillance d'individus dangereux et nombreux.
Ce ne sont pas seulement les opposants de droite au sein de la commission, tel Eric Ciotti constatant quant à lui qu'on se situe "dans un monde de Bisounours", ce sont aussi certains élus étiquetés LAREM, tel Bruno Questel, qui regrettent que la loi soit ainsi vidée de sa substance, devenant même inutile.
De 2020 à 2022, ce seront environ 150 détenus condamnés pour "faits de terrorisme" qui vont être remis en liberté en France.
Les surveiller de façon sérieuse sans le recours à des dispositifs tel que le bracelet électronique supposerait la mobilisation d'un personnel considérable, bien au delà des moyens chichement alloués à nos services de police et de renseignement. Tout cela par la faute d'une gauche incorrigible et antinationale – enfermée dans ses certitudes idéologiques.
JG Malliarakis
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Apostilles
[1] fiche à lire attentivement , en sachant que la plupart des informations de ce genre de pages, viennent initialement des intéressés, le système wiki, où les bolchos français pullulent et sévissent, intervenant surtout pour les corrections.
[2] cf. ce qui donne au site FL24 d'informations en continu l'occasion de titrer : "Les députés leur retirent le bracelet électronique, les djihadistes pourront s’enfuir"
La Gauche bénéficie avant tout de la médiocrité de l'Opposition, et ce depuis des décennies. La Nouvelle Droite dès les années 70 avait pourtant apporté toutes les bases d'une métapolitique cohérente pour un renouveau "à droite". Pour lui avoir préféré l'alignement sur la gauche idéologique, la "Droite" s'est condamnée elle-même à la défaite idéologique et de fait ensuite politique. Alain de Benoist l'avait parfaitement analysé dans "Orientations pour des années décisives" (1982).
"(…) on donnait pour battue d'avance, la très nuisible camarade Hidalgo"
Si c'est pour avoir Rachida Dati à la place, non merci.
"De 2020 à 2022, ce seront environ 150 détenus condamnés pour "faits de terrorisme" qui vont être remis en liberté en France."
L'application de la peine de mort pour ces ordures aurait évité ce scandale. Mais qui propose son rétablissement dans son programme ? Personne (et certainement pas le "Rassemblement" "national" et l'abjecte famille Le Pen).
Rédigé par : RR | mardi 23 juin 2020 à 22:55
@RR Vous vous faites du mal en confondant le propos qui ressort de ce blog, manifestement patriotique et "paneuropéen", avec ceux d'Alain de Benoist et Bertrand Renouvin qui semblent vous fasciner. La "Nouvelle Droite" des années 1980 et la "Nouvelle Action Royaliste" (qui soit-dit en passant se combattaient furieusement) appartiennent l'une comme l'autre au passé. Elles ont sombré dans le tiers-mondisme, alors que la question est aujourd'hui celle de la tiers-mondisation de la France. S'agissant de la famille Le Pen, que vous détestez, tout le monde a compris votre point de vue. Vous nous rappelez qu'elle est devenue très clairement volens nolens une composante du "système". Vous pourriez passer à autre chose et cesser de manier l'injure : vous risqueriez de nous la faire aimer.
Rédigé par : Emile Koch | mercredi 24 juin 2020 à 11:07
@Emile Koch. Merci pour votre réponse à RR qui nous assomme régulièrement avec ses grossières diatribes contre les Le Pen. C'est effectivement lassant et contre productif.
Rédigé par : Saint Surge | mercredi 24 juin 2020 à 16:49
La gauche bénéficie surtout du vieux principe maçonnique: "pas d'ennemis à gauche".
Ca signifie que les loges et tout ce qui en dépend, c'est à dire notamment les médias, diabolisent toujours la droite de la droite, dite extrême droite, présentée comme infréquentable, immonde, etc. Moyennant quoi dans les élections, surtout les élections à deux tours, il est possible de faire peser un interdit moral empêchant la jonction des électorats de droite et d'"extrême" droite au deuxième tour, alors que l'extrême gauche est toujours présentée comme angélique, généreuse, par conséquent les candidats de gauche ont toujours le droit de faire liste commune au second tour avec l'extrême gauche. Cela assure à la gauche la victoire, même quand elle est minoritaire, ce qu'elle est généralement en France car la France est un pays conservateur majoritairement de droite.
La seule façon de changer ce vice fondamental qui fausse les élections serait d'interdire la franc-maçonnerie et d'exercer une politique gouvernementale de discrimination déterminée pour interdire aux éléments maçonniques toute influence quelconque dans les médias.
Mais, cela aussi, est impossible car ils tiennent le pouvoir et ils n'auraient qu'à hurler au rétablissement de l'inquisition, à l'antisémitisme, etc., car tout cela est lié on le sait bien, et tout le monde se débinerait.
Ils jouent sur le velours et la droite est lâche. Tant qu'un pouvoir fort et non démocratique ne remet pas les pendures à l'heure, le principe pas d'ennemi à gauche fera glisser le curseur inexorablement de plus en plus à gauche pour maintenir la domination de ....
Rédigé par : on nous prend pour des c... | jeudi 25 juin 2020 à 01:43
Ce n'est pas tant que la gauche sera toujours la gauche, que la révolution communiste est plus que jamais en marche contre l'Occident chrétien, et que ses protagonistes sont en son sein depuis longtemps, aux plus hauts niveaux. LFI est une aimable plaisanterie à côté d'eux.
Actuellement nous sommes dans une phase d'accélération du processus révolutionnaire. Et cette phase devient visible… Aux USA elle vise à renverser le pouvoir légitime ( qui avait entrepris une contre-révolution démocratique avec le mouvement Trump ) en créant le chaos. Ce qui se passe là-bas se produit toujours ensuite en Europe, et c'est le cas dans plusieurs pays dont la France.
Il a été démontré que les Antifas sont une organisation révolutionnaire transnationale. Il sont financés, protégés, encouragés par des institutions démocratiques : états, organisations supra nationales comme l'UE et la CEDH etc. La Chancelière Merkel dîne avec Georges Soros et la RFA finance directement les Antifas allemands … dans le cadre de la “ lutte contre l'extrême droite “ allemande. L’état français fait plus que les tolérer, il les chouchoute même contre sa police. Je ne reviens pas là dessus puisque ce sont des faits maintenant établis, et encore disponibles facilement sur le réseau internet. Les Black Lives Matter sont aussi un mouvement révolutionnaire, et également transnational comme on peut le constater en ce moment. Et il y a d'autres mouvements marxistes ultra violents, ou dissimulés qui sont à l'oeuvre de façon transnationale, comme ATTAC par exemple, et les pseudos mouvements écologistes.
Les " états profonds " ( pour reprendre l'appellation américaine de Deep state ) veulent convertir depuis longtemps les peuples occidentaux au marxisme ; et les médias dits politiquement corrects, ou dominants, sont des porte-voix du Léninisme et du Stalinisme. Depuis les années 1960 leurs écoles, lycées, et universités publiques sont également devenus des centres d'endoctrinement marxistes. Et comment s’étonner du naufrage de la “ démocratie “ dans ces conditions, particulièrement en France ?
Le “ progressisme “ ( nom de camouflage pour le communisme ) a pour cela réussi à inverser des valeurs pourtant établies depuis des SIÈCLES en Occident. Comme la religion catholique, très malmenée depuis le concile Vatican II, puis victime d'un véritable coup d’état sur le pape Benoît XVI qui s'efforçait de rétablir la Vérité dans les institutions romaines. Rome est depuis devenu ouvertement un agent marxiste d'influence mondiale.
Comme l'art occidental, façonné par des siècles de culture grecque et chrétienne, qui a été détruit par “ l'art moderne “ qui une machine idéologique, également marxiste, pour détruire le christianisme et donc la civilisation occidentale.
Tout cela se fait aussi ( et surtout, à mon avis ) grâce aux puissances financières basées aux Etats-Unis, qui avaient siégé jusqu'au XXème siècle à la City. De même qu'elles ont possédé très longtemps la Banque d'Angleterre, elles ont maintenant la pleine propriété de la Banque des Etats-Unis, ( improprement appelé FED : Banque fédérale de réserve des Usa ).
C'est en effet leur très, très puissante association Council of Foreign Relations qui tient l'État profond américain. Et ce sont les membres du CFR qui ont créé l'ONU, la CEE puis l'UE, et qui en tiennent les dirigeants à travers les Commissions Bilderberg et Trilatérale. Or le CFR veut instaurer le ” New world order “ ( pour reprendre la déclaration du président Bush ), qui est autre qu’une dictature mondiale, dont la réalisation capitalo-communiste en Chine et le projet de l’UE en Europe sont des jalons.
Notre président de la république fut désigné par le Bilderberg, comme notre premier ministre. S'ils sont tous deux de lamentables dirigeants, incapables comme tous les énarques, ils accomplissent le programme révolutionnaire du CFR : celui de réaliser l’ordre mondial, orwellien et communiste.
Ce n'est pas gratuitement que E. Macron déclara à Alger que “ le colonialisme est un crime contre l'humanité “ : ce venin a fait son effet que l'on voit aujourd'hui dans les rues de Washington, Londres, et Paris ! Je mentionne, pour finir, que c'est la Commission Trilatérale qui dirige en fait l'UE : J-C Trichet ( ancien directeur de la BCE ) y est le directeur de la “ zône Europe “ …
La RPC joue évidemment un rôle dans cette subversion communiste. Hélas nombreux sont ceux qui restent aveugles, et les traîtres déclarés ne sont pas inquiétés.
Jusqu’à présent la subversion agissait silencieusement, mais comment pouvait on ne pas la voir tellement les dégâts étaient énormes, années après années, en France et ailleurs en Occident ? Maintenant elle est dans la rue et elle jouit toujours pleinement de la complicité de nos ministres.
Car ce n'est pas par faiblesse que le ministre de la justice a relâché 10.000 condamnés, ni que le ministre de l'intérieur laisse maintenant des manifestants crier leur haine des Francs, et qu'il menace les policiers qui feraient leur devoir. C'est la même attitude aux USA ou des élus pro-communistes ( des Démocrates ) retirent des crédits aux polices municipales, et parfois démantèlent des polices spécialisées ( antigang à New-York, protection des écoles à Oakland … ) et pareil en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Suède.
Il y a une planification transnationale pour établir un “ nouvel ordre mondial “ orwellien et communiste.
L'occident est dans sa ligne de mire car la spiritualité chrétienne en est le socle. Il est temps de ne plus voir de la faiblesse ou de l'inintelligence chez les gouvernants d'ici et d'ailleurs. Comme Robespierre, et les autres, ils savent ce qu'ils font. Mais ils mentent car ils sont fourbes, le mensonge est leur camouflage. Et ils agissent dans le mensonge chaque jour pour détruire la civilisation chrétienne, c'est à dire : nous.
Pour la France dans ces conditions, avec un régime démocratique les mondialistes communistes ont un boulevard devant eux. Sinon notre belle patrie ne serait pas en train de sombrer.
Rédigé par : Dominique | jeudi 25 juin 2020 à 19:33