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lundi 11 nov 2019

Commentaires

RR

"On peut, certes, diverger sur l'accueil de ces lignes d'action [dévelopées par Ursula von der Leyen]. Les uns souhaiteront, dès lors, que l'on s'applique à les mettre en œuvre, comme tous les présidents, de gauche comme du centre[2], l'ont fait depuis 1962. Un demi-siècle. D'autres au contraire, demeurant dans les considérations et le contexte de la génération des fondateurs du nationalisme français Maurice Barrès et de Charles Maurras, tous deux marqués par la défaite de 1870, considéreront que la France restera toujours confrontée à ce que Bainville appelle "l'Allemagne éternelle."


Les héritiers de Maurras (regroupés dans la Restauration nationale, issue de l'Action française) restent méfiant et critiques à l'égard de l'Allemagne mettant en avant son "agressivité politique et économique". Ils n'ont pas vraiment tord mais ils oublient que si la France est en recul et soumise à une certaine "domination allemande", c'est bien plus de la faute de "nos" dirigeants à "nous" qui mènent la France au désastre via leur politique économique et sociale qu'à celle des dirigeants allemands.
Par ailleurs, l'Allemagne a une dirigeante qui sur une certaine question pratique une politique aussi sinon plus suicidaire que celle de M. Macron.
Il est évident que nous sommes tous sur le même bateau (qui est en train de couler) et que si l'Union européenne actuelle qui est jacobine est une monstruosité, il y a une absolue nécessité à construire un modèle européen respectant démocratiquement les identités et les aspirations de ses composants. Dans cet objectif une entente franco-allemande est bien évidemment primordiale, mais elle ne sera possible positivement que lorsque ces deux grands pays auront des dirigeants soucieux de leur peuple respectif; c'est loin d'être le cas actuellement.


(je ne vois plus guère de mouvements se réclamant de l'héritage politique de Barrès pas plus d'ailleurs que de celui très proche de Déroulède)

Dominique

Ces gens parlent d'armée mais ne savent pas ce qu'est un soldat. Un soldat est né dans son pays, ou l'a adopté autant qu'il a été adopté. Un soldat se bat pour SA patrie et, pour elle, il est prêt à donner SA vie.

Parler d'armée européenne dans les conditions actuelles et à venir de communautés qui pourraient s'entre déchirer, me parait être dans un mauvais rêve. Voit on, par exemple, les pays issus de l'ex Yougoslavie créer une armée commune ? Évidemment non.

Des paroles de politiciens en dehors de la réalité, placés depuis l'extérieur à la tête de pays qui n'ont actuellement pas ou si peu de soldats ; placés là pour créer une armée d'apatrides " à la façon de l'ONU ", pour assurer l'ordre dans le projet d'une Europe mondialiste, laboratoire du gouvernement mondial ? C'est envisageable.

De cela, une armée de mercenaires assurant des fonctions de police entre pays européens, nous n'en voulons pas. ( Cela me rappelle ces Paras français revenant d'ex Yougoslavie et jetant à terre, dès avoir touché le sol de France à Orly, leur calot couleur bleu de l'ONU.)

Il faudra d'abord reconsruire les patries des pays européens et c'est être réaliste de penser qu'on prend les chemins inverses ! Cela passera donc par se débarasser de ces mauvais dirigeants, et refaire vivre, chez nous en Europe, des peuples redevenus européens et chrétiens. Qu'on le veuille ou non, il n'y aura pas d'armée européenne envisageable autrement que par et pour des patries retrouvées.

Puisqu'on est en France, rappelons à ces mauvais dirigeants que gendarmes de soldats ne suffiraient pas, actuellement, pour remettre de l'ordre dans les 600 zônes où les pompiers sont attaqués quotidiennement.

RR

Je dois dire qu'à chaque fois que je sollicite de la documentation ou des informations à des sociétés allemandes, j'obtiens toujours rapidement satisfaction. C'est loin d'être toujours le cas en France y compris pour des filiales françaises d'entreprises allemandes !


Pour en revenir à Déroulède et à Barrès, je pense que leur analyse de la Révolution française était trop superficielle et qu'ils n'avaient pas pris assez de recul. Ils n'ont pas pu évidemment bénéficier de la longue étude de Beau de Loménie et enfin n'ont pas pu voir suffisamment où nous mène l'application des "valeurs républicaines". Vivant à notre époque, il est fort probable qu'ils auraient profondément changé de logiciel.

Dominique

A propos de l'OTAN

Le NATO est vu par le très influent CFR américain - dont le président s'exprime régulièrement devant la Commission sénatoriale des affaires étrangères des USA - comme “ un instrument des USA pour leur propre intérêt, et les USA restent dans l'OTAN non par par philanthropie mais pour eux même et non pour faire une faveur aux Européens " :

“The United States stays in and supports NATO as a favor not to Europeans but to itself. NATO membership is an act of strategic self-interest, not philanthropy."

https://www.cfr.org/report/assessing-value-nato-alliance

L'OTAN n'est effectivement plus un instrument de sécurité de l'Europe occidentale contre la dangereuse URSS ; depuis que les Russes se sont débarrassés, par eux même, du monstre communiste.

Mais l'attaque par l'OTAN contre la Serbie pour défendre des agresseurs islamistes en Bosnie puis au Kosovo, fut une volonté des USA. Une guerre d'agression américaine contre la Serbie à laquelle les Européens participèrent hélas. Résultat : la création d’états islamistes en Europe et la construction de la plus grande base militaire des USA, entre Europe occidentale et Europe orientale.

Puis l'attaque par l'OTAN de l'Afghanistan au nom de l'article 5 du traité, après le 11 septembre. Ensuite il y eut l'Irak, puis la Libye. Guerres d'agression américaines, avec participations d'armées européennes et dont les Européens paient le prix très fort avec nos soldats tués, et avec l'immigration en provenance d'Afghanistan, du Moyen-Orient et d'Afrique.

Enfin les états issus de la fin de l'empire soviétique, comme l'Ukraine ont intéressé et intéressent les USA au plus haut point : les récents déploiements militaires américains dans les pays européens ont été réalisés dans cet objectif, plutôt, à mon avis, que pour défendre les pays européens.

https://www.cfr.org/article/after-wall

Finalement avec l'OTAN est ce les USA qui protègent l'Europe, ou l'Europe qui doit faciliter et aider les USA dans leurs actions extérieures ?

Le danger Chinois, autrement plus sérieux que le danger Russe, remettra-t-il les pendules à l'heure ? On en parle dans les compte-rendus du CFR, à Washington, de plus en plus tourné vers l'Asie. Alors que nos dirigeants ne voient pas le danger ; la Chine c'est loin et on y fait ( du moins le croit on) de bonnes affaires.

RR

@ Dominique


Tout à fait d'accord avec votre message.

L'OTAN a redoublé d'agressivité depuis la fin de l'URSS alors que la Russie ne représente aucun danger pour le monde libre dont elle est partie intégrante; l'OTAN comme vous le mentionnez est au service des officines mondialistes et de leurs plans diaboliques, ce qui n'est certes pas nouveau vu que c'était déjà le cas du temps de l'URSS.

Mais les Américains - je parle des gens de tous les jours - en sont eux-mêmes les victimes puisqu'ils y perdent des fils (et des filles) dans ces combats illégitimes.
La solution pour les Américains se trouve ici:
http://ronpaulinstitute.org/
et nulle part ailleurs.

RR

À propos de l'impérialisme américain, il ne faut pas oublier non plus le coté mafieux.
Il s'est illustré notamment par le soutien à Cuba de la pourriture Batista grand protecteur de la mafia qui sous son règne procura à cette dernière importée des États-Unis un nouveau terrain d'action notamment dans le proxénétisme et le contrôle des jeux.
Fort heureusement Fidel Castro (dont on peut toutefois contester certaines orientations économiques et sociales) allait mettre fin définitivement à cette entreprise criminelle malgré les multiples tentatives américano-mafieuses de renversement qui s'en suivirent, toutes fort heureusement mises en échec.

RR

Concernant Fidel Castro, il faut préciser qu’il n’était à l’origine nullement communiste mais seulement nationaliste, en lutte contre l’impérialisme bien réel des États-Unis à l’égard de l’Amérique latine.
Mais n’ayant trouvé aucun soutien hormis celui évidemment intéressé de l’Union soviétique et ne pouvant évidemment se permettre de rester isolé et forcé par ailleurs de contracter des alliances avec les communistes locaux seuls opposants organisés à la dictature de Batista, il évoluera vers des positions qu’on peut qualifier à la fois de nationalistes et de communistes. C’est regrettable sur ce dernier aspect mais la question à se poser est : Pouvait-il faire autrement ? La situation en Argentine permit à Juan Domingo Perón d’instaurer lui, un nationalisme social que d’aucuns qualifient – un peu vite selon moi assez méticuleux sur le sens des termes – de fascisme argentin ; cela n’était apparemment pas possible à Cuba, on peut le regretter mais c’est ainsi. Et il est évident que l’Occident de l’époque refusant d’apporter son soutien à la révolution cubaine a sa part de responsabilité dans l’alliance forcée de Fidel Castro avec l’URSS.
Toujours est-il que contrairement à cette dernière et à ses pays satellisés (République « démocratique » allemande, Hongrie, Tchécoslovaquie,…), Cuba n’est pas devenu un enfer. Fidel Castro a d’ailleurs bénéficié jusqu’au bout du soutien de l’immense majorité de son peuple.

RR

Suite et sans doute fin sur Fidel Castro :


Il faut savoir aussi que le parti communiste local (qui n'était entré que tardivement en opposition à Batista, ayant auparavant magouillé avec lui) fut récupéré en fait par Castro dans une réunion de tous les révolutionnaires.
C'est à la suite des nationalisations des grandes sociétés américaines implantées à Cuba que les États-Unis déclarèrent ouvertement la guerre à Fidel Castro qui se trouva alors isolé.

Dominique

@ RR

Le mur n'est pas tombé à Cuba en 1989. À quand ?

Évoquer Cuba nous entraîne loin de l'armée européenne, mais il m'apparaît que vos appréciations de Batista, des Castro, et des USA vont trop loin et pas dans le bon sens.

Car Batista ne fut nullement un dictateur sanglant. Il fut régulièrement élu président de la république en 1954 et, mal lui en prit, il gracia Castro de sa peine de prison en condamnation de son coup d'état raté.

Castro, avec son âme damnée Guevara et leur clique d'assassins, mirent les Cubains sous une dictature communiste, sanguinaire dès le début. Castro n'est pas venu fermer les bordels de luxe, ça c'est la légende de Fidel. Et rien n’obligea Castro à implanter des fusées russes à Cuba : Castro était aussi un fou dangereux ! ( Soljenitsyne a dit “ l'Occident manque de courage “ : les USA avait là une occasion pour libérer les Cubains. Mais ce n'est pas mon propos.)

Je passe aussi sur les emprisonnements, les exécutions sommaires dans les prisons, d'opposants, de journalistes, la sale guerre en Angola, contre la Rhodésie, la déstabilisation toujours actuelle de pays d’Amérique latine et du sud, les centaines de milliers de Cubains qui se sont enfui par la mer au péril de leur vie, etc… ( Castro junior lui, vogue sur son yacht, il fait partie de la jet set.)

Enfin, Cuba est classé 178ème sur 180 à l'indice des libertés économiques de la conservatrice ( au sens de notre chroniqueur) Heritage Foundation, juste avant le Vénézuéla et la Corée du Nord, ce qui veut tout dire : la vie des Cubains est de plus en plus pitoyable ! Voir les notes et les commentaires :

https://www.heritage.org/index/country/cuba


Un livre : Pierre Rigoulot, Coucher de soleil à La Havane. 1959-2007, Flammarion.

RR

@ Dominique


"(…) Batista ne fut nullement un dictateur sanglant."

Je n'ai pas prétendu le contraire; j'ai seulement dit que c'était un dictateur.


"Castro, avec son âme damnée Guevara et leur clique d'assassins, mirent les Cubains sous une dictature communiste, sanguinaire dès le début."

Un peu excessif à mon avis de dire ça.


"Castro n'est pas venu fermer les bordels de luxe, ça c'est la légende de Fidel."

Là non, je ne suis pas du tout d'accord. Prétendre cela, c'est nier l'évidence:
https://www.lemonde.fr/idees/article/2012/08/08/mafia-au-paradis_1743745_3232.html
et
https://www.lesechos.fr/2010/04/castro-si-mafia-no-1085787


"(…) la vie des Cubains est de plus en plus pitoyable !"

C'est à voir. Je ne suis jamais allé à Cuba pour le constater. Mais ce que je sais en revanche, c'est que les Cubains dans leur immense majorité ont soutenu Fidel Castro.


Cela dit que ça soit bien clair, je n'ai jamais dis que l'œuvre de Fidel Castro était exemplaire, j'ai seulement voulu dire que ça avait été pour Cuba le moindre mal. Ce n'est pas exactement la même chose.

Dominique

@ RR
Vous m'étonnez. Je vous invite à réfléchir sur des faits - lien et livre à l'appui - et vous vous appuyez sur deux journaux gauchistes pour défendre l'indéfendable " oeuvre " de Fidel Castro. Votre position est intenable.

Le site http://est-et-ouest.fr/ vous apportera des témoignages précis sur les souffrances des Cubains ( il est actuellement en reconstruction).

RR

@ Dominique


Si les deux liens que j'ai indiqué peuvent en effet être considérés comme renvoyant à des journaux disons gauchisant, le contenu du premier est un descriptif d'une émission de la chaine ARTE composée de nombreux témoignages irréfutables et celui du second relate un témoignage très précis de la petite fille d'un parrain de la mafia; dans les deux cas, il ne s'agit donc pas d'articles d'opinion. Une publication anticommuniste honnête non alignée sur la politique impérialiste américaine aurait d'ailleurs pu parfaitement s'en faire l'écho.
Enfin, si j'approuve et je défend en effet la liquidation de la mafia par Fidel Castro, je ne défend pas spécialement le reste de son action. Je me contente de dire qu'il valait mieux que Batista qui était un personnage absolument indéfendable.

Dominique

@ RR

Mis à part quelques livres tels ceux de Jacobo Machover, on trouve, en France, essentiellement des chroniques de journalistes favorables au castrisme. D'où ces T-shirts Che Guevara. Dans ces conditions, l'ambiance médiatique pro communiste française finit par influencer. Mais cela n'excuse pas votre aveuglement, à mes yeux tragique.

Sans cesse il faut aller aux sources et lire les historiens.

Si vous voulez avoir avec internet des informations journalistiques honnetes, il faut poser vos questions à Google ( en langue anglaise) :

2 millions de Cubains émigrés,
100.000 Cubains exécutés,
15.000 soldats cubains ( conscrits) tués en Angola,
près de 20.000 prisonniers politiques actuellement...
et un pays où des immeubles s'effrondrent tous les jours.

https://www.thenewamerican.com/world-news/north-america/item/24716-fidel-castro-death-of-a-murderous-communist-dictator

Comment espérer une Troisième Voie en Europe, alors que Juncker a pleuré la mort de Castro ?

RR

@ Dominique


La SEULE chose que je trouve positive chez Fidel Castro, c'est qu'il a libéré Cuba de l'emprise de la mafia. Pour le reste, je suis plutôt neutre sinon hostile à l'égard de ce qui fut sa politique. Ma critique est donc certes moins radicale que la votre mais ne s'y oppose pas forcément.
Che Guevara représente la figure du révolutionnaire au-delà des opinions qui furent les siennes. C'est pour cela que les T-shirts à son effigie ont eu et ont toujours autant de succès y compris dans des milieux où on ne l'aurait pas soupçonné (nationalistes-révolutionnaires de Nouvelle Résistance par exemple dans les années 90; même Jean Cau lui avait consacré un livre d'ailleurs excellent titré Une passion pour Che Guevara). De même les militantes de la RAF allemande dont nous n'approuvions ni les actions ni leur idéologie marxiste-léniniste incarnaient pour certains d'entre nous de pures révolutionnaires désintéressées se sacrifiant pour leur cause (qui n'était je le répète pas la notre) qui à ce titre méritaient le respect pour ne pas dire plus, à l'inverse des "gauchistes" que nous avions face à nous sur le terrain et qui eux ne quittaient pas leur confort bourgeois.
Je vous parle de ce que j'ai vécu.

Dominique

@ RR
Cuba n'a pas été plus sous l'emprise de la mafia que New York, Chicago, La Nouvelle Orléans ne le furent. Lucky Luciano implanta ses salles de jeux à La Havane comme un autre mafioso créa des salles de jeux à Las Vegas, c'est tout. Cuba avait d'autre problèmes que les salles de jeux.
Mais, dans les années 60 tous les chefs de la mafia américaine étaient soit tués, soit exilés en Italie, soit en prison... le FBI avait fini son travail.
Je maintiens aussi que Castro était un agent soviétique qui réussit son coup, car la CIA n'y a vu que du feu et fut complice pour éliminer le président Bastista, qui déplaisait aux bonnes âmes américaines. Les USA ont alors refusé de livrer des armes à la République de Cuba, sinon Castro et sa clique d'assassins n'aurait pas réussi à renverser la république cubaine.
Documentez vous !

Il faudra vous documenter aussi sur Guevara pour ne plus voir en lui "la figure du révolutionnaire" mais un assassin qui tuait chaque matin de ses mains, au revolver, un contingent de prisonniers politiques dans les geôles castristes. Et la criminelle Rotte Armee Fraktion - qui n'est pas le sujet - n'a jamais inspiré aucun respect, sinon de la part de communistes ou d'idiots. Vous perdez carrément la raison avec votre vision romantique.

Pensez plutôt aux victimes du communisme, passées, présentes, et à venir. C'est pour éradiquer cette idéologie monstrueuse que nous nous battons, pour faire connaître la vérité sur les communistes et leurs crimes. Lorsqu'on explique qui fut Guevata aux imbéciles qui portent un t-shirt du Che la plupart disent " je ne savais pas".

Vous avez dans mes commentaires les liens et les livres à lire : bonnes lectures et on en reparlera à une session de rattrapage.


RR

@ Dominique


"Cuba n'a pas été plus sous l'emprise de la mafia que New York, Chicago, La Nouvelle Orléans ne le furent."

"n'a pas été plus" ? C'est possible, mais c'est déjà pas mal je pense ! Le crime organisé n'a pas disparu avec l'arrestation et l'incarcération d'Al Capone ! Et l'Amérique tout comme l'Europe est encore de nos jours loin d'en être débarrassé !


"Et la criminelle Rotte Armee Fraktion - qui n'est pas le sujet - n'a jamais inspiré aucun respect, sinon de la part de communistes ou d'idiots."

Visiblement, vous n'avez pas connu certains milieux nationaux-révolutionnaires que moi j'ai connu (je le précise tout de suite ce n'était pas des mouvements dirigés par J-G M. qui je pense ne l'aurait pas toléré). Même au GRECE (Nouvelle Droite), certains animateurs ne cachaient pas leur préférence pour les militantes de la RAF par rapport notamment à Margareth Thatcher qui avait la côte chez les "nationaux-conservateurs"; je pourrai vous citer des noms, mais je ne le ferai pas ni ici ni ailleurs, ça serai contraire à toute décence de "dénoncer" des camarades (vous noterez le terme de camarade que j'emploi et qui était de rigueur entre nous).
Évidemment, ce n'était pas dans les milieux royalistes ou "cath trad" qu'on y rencontrait des militants qui tenaient ce discours.

RR

@ Dominique


"Mais, dans les années 60 (…) le FBI avait fini son travail [contre la Mafia]"


Je pense que même dans un contexte de propagande, la communication du FBI n'aurai jamais osé sortir une telle énormité.
La Mafia tout comme les autres structures du crime organisé si elles ont subi quelques défaites se sont toujours immédiatement relevées et n'ont à ce jour jamais été décimées ni aux États-Unis ni ailleurs dans le monde. Cuba sous Fidel Castro et l'Italie sous Benito Mussolini (du moins tant que le régime était en force) sont de rares exceptions.

Chibounidia

@ RR

Pourquoi je ne suis pas "neutre" à l'égard de Fidel Castro : http://fr.liberpedia.org/Cuba

Dominique

https://www.radiotelevisionmarti.com/a/artistas-cubanos-en-el-exilio-har%C3%A1n-un-concierto-anticomunista-en-miami-/252805.html

Présenté comme " le premier concert anticommumiste aux USA " aura lieu prochainement à Miami un concert organisé et exécuté par des musiciens cubains ayant fui Cuba.

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