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mardi 22 oct 2019

Commentaires

Dominique

Croyez vous vraiment que l'Armée française était la plus puissante du monde après 1918 ? Il est vrai que vous avez écrit " semble ".

2 millions de soldats tués, certainement autant de très grands blessés et invalides, et tant de blessés auront profondément affecté une population rurale très courageuse.

Quant aux échecs de la France depuis 1789 sur le plan international ils sont effectivement avérés. Et tant d'échecs intérieurs également : l'abaissement spirituel par la lutte féroce d'hommes de l'état contre les catholiques en premier.

*

L'absence d'un roi, père de famille de toutes les familles a-t-elle permis aux puissances d'argent comme les 500 familles, et aux sociétés de pensée secrètes de diriger notre malheureux pays ? Et depuis 1945 surtout il a subi trahisons après trahisons. Toutes aux conséquences dramatiques. Et notre royal pays n'est plus aujourd'hui qu'un souvenir sur tous les plans ; sans commentaires.

Les grandes villes deviennent des villes du tiers monde, et la ruralité est depuis longtemps affectée : comme si des bombes à neutron avaient tués les hommes et laissé leurs traces. D'où ces volets fermés dans maints villages, et villes, ces toitures en déroute que l'ont voit en traversant la France par le réseau routier classique. Les églises et les cafés ont fermé ; restent des pharmacies et des laboratoires de biologie, et de "grandes marques" mondialistes dans les villes.

Jean Raspail croit au retour naturel d'une idée populaire de la nécessité d'un roi, par une sorte de maturation spontanée de la pensée individuelle et collective. Lorsque le peu qu'il reste aura été vendu, et le pays submergé par les migrations, ce sera peut être un réflexe collectif évidemment salutaire.

Il aurait l'avantage de réconforter, de protéger, et de fortifier ce qui fait un peuple : l'union des familles autour d'un chef naturel, père des familles, au dessus de tout, inatteignable par les puissances de l'argent et les groupes de pression. Uniquement préoccupé par la liberté et le bonheur de ces familles, son peuple.

Espoir ?


RR

"(…) une thèse devenue centrale [celle d'Emmanuel Beau de Loménie], celle des "Responsabilités des dynasties bourgeoises[3], cette histoire non-conformiste de la France contemporaine écrite à partir du désastre de 1940, et publiée à partir de 1943."


On insistera jamais assez sur la pertinence de cette thèse.


"Pour faire plus simple, ces "dynasties" étant étudiées et définies comme les héritières des profiteurs de la Révolution de 1789, c'est-à-dire avant tout des acquéreurs de biens nationaux, c'est bien évidemment la révolution elle-même, dans son ensemble, qu'il convient de mettre en examen."


Je l'ai déjà mentionné, vous y aviez consacré lors du bicentenaire un cahier doctrinal Troisième voie.
Il serait intéressant de reprendre tout ça en plus détaillé.

En ce qui me concerne, j'ai une opinion un peu plus nuancée sur la Révolution de 1789 que celle des nostalgiques de l'Ancien régime.
Et de fait, j'adhère tout à fait à ce que vous écriviez dans ce fameux cahier notamment quant à la nécessité d'une Seconde révolution (et non d'une restauration de la monarchie même sous une forme constitutionnelle comme vous le préconisez désormais). Là dessus, c'est clair que nous ne sommes plus sur la même ligne.

Petite réponse
"Mettre en examen" ne veut pas dire condamner "en bloc". car contrairement à ce que pensaient aussi bien Clemenceau que Maurras, la révolution n'est pas "un bloc" [un "bloc de bêtise" disait Léon Daudet] Permettez-moi de vous rappeler la lettre aux ouvriers du comte de Chambord : "ensemble si vous le voulez nous reprendrons le grand mouvement de 1789". Accessoirement Chateaubriand dans les textes que j'ai rassemblés sous le titre "Le Moment conservateur" souligne bien qu'il ne s'agit pas de rassembler les nostalgiques de l'Ancien régime. Dans son remarquable "Romantisme fasciste" Paul Sérant définit précisément comme de tels nostalgiques les sept écrivains français qu'il classe comme "fascistes", y compris Céline et Drieu La Rochelle. Pas si simple, n'est-ce pas ?

RR

@ Dominique

"Croyez vous vraiment que l'Armée française était la plus puissante du monde après 1918 ?"


La défaite de 40 est avant tout due à l'incroyable manque de clairvoyance du personnel politique français devant la menace allemande. Que l'on soit d'accord ou pas avec les idées politiques de Bainville et de Maurras, il faut souligner qu'eux très lucides par contre, ont tout fait pour avertir les Français et leurs dirigeants du danger; hélas ils n'ont pas été entendus (pas plus que ne l'ont été les nationalistes et autre droite nationale sur un autre danger dénoncé dès les années 60), de même que sur une nécessaire alliance avec le francophile (et antipangermaniste à l'époque) Mussolini.
Les Français ont répondu à l'appel et se sont battus courageusement, mais que faire quand on n'est nullement préparé, que le désordre est général dans le sens où le matériel est défaillant et tout simplement absent (parti pour beaucoup en Espagne rouge comme le prétendent certains ?).
Il faut lire sur cette période tragique les mémoires de Tixier-Vignancour (Des Républiques, des justices et des hommes, Albin Michel en occasion). On en apprend, pas sur sa "première fois" certes (pour ça pas besoin de Le Pen il y a des publications spécialisées), mais sur des évènements essentiels confirmant d'ailleurs mes témoignages familiaux.

RR

Si le fait de déplorer la perte des valeurs de la civilisation française (et européenne) et de condamner le "progrès" de la décadence qui sévit de manière accélérée depuis quelques décennies est synonyme de nostalgie envers l'Ancien régime, alors là je veux bien en être aussi. Et de ce point de vu- là, on peut y inclure Proudhon aussi bien que le néo-marxiste Sorel en passant par Déroulède et Barrès. Par ailleurs vous avez parfaitement raison d’écrire que la Révolution de 1789 inaugure ce que vous appelez très pertinemment l'ère du déclassement.
Il s’agit donc de rompre avec les « grandes valeurs républicaines » que l’on nous vante à longueur de journée.
Il n’en reste pas moins qu’on ne saurait ignorer comme vous l’aviez naguère écrit et comme l’a également démontré Alain de Benoist que l’Ancien régime comportait déjà nombre de tares qui se sont ensuite prolongées jusqu’à nos jours après la chute de la monarchie (notamment déjà l’emprise de la haute bourgeoisie sur les affaires économiques du pays). La Révolution a eu comme conséquence en revanche de transférer le pouvoir politique du roi à des tenants de cette haute bourgeoisie associés à des membres de la grande noblesse (Drieu La Rochelle dans Socialisme fasciste décrit très bien la chose, réduisant à néant l’interprétation marxiste du pouvoir politique transféré de la noblesse à la bourgeoisie, thèse fausse pourtant communément admise y compris par des non marxistes).
Il n’en reste pas moins non plus qu’on ne saurait considérer comme démocratique selon moi (et là je suis en désaccord avec vous et avec Bertrand Renouvin) une royauté puisque le roi exerce une souveraineté (même si elle est évidemment de nos jours très limitée dans les monarchies contemporaines européennes, toutes constitutionnelles). Or il n’y a de démocratie que lorsque c’est le peuple (directement et lui seul selon Rousseau) qui est souverain. En admettant même que l’on ait un roi élu (comme au premiers temps de la royauté), la transmission héréditaire du trône est en contradiction formelle avec le principe démocratique.
Dominique nous dit « Il [le roi] aurait l'avantage de réconforter, de protéger, et de fortifier ce qui fait un peuple : l'union des familles autour d'un chef naturel, père des familles, au-dessus de tout, inatteignable par les puissances de l'argent et les groupes de pression. Uniquement préoccupé par la liberté et le bonheur de ces familles, son peuple. ». Le roi en somme réunissant le peuple au-dessus des partis, c’est ce que disent tous les royalistes qu’ils soient héritiers de l’AF, qu’ils s’en soient éloignés (NAR), « légitimistes »,… Sans doute un roi pourra-t-il réunir autour de sa personne des Français aussi bien issus de la droite que de la gauche. Mais certainement pas le peuple dans son ensemble et loin de là ! On oublie simplement ici dans ce rassemblement ceux qui ne veulent pas la royauté ! En Espagne, la moitié des Espagnols souhaitent le départ du roi ! Le roi d’Espagne ne rassemble donc tout au plus que la moitié du peuple espagnol ! D’ailleurs ça se comprend, j’ai beau examiner les situations respectives des uns et des autres, je ne vois pas en quoi les pays couronnés se portent mieux que les autres.

Dominique

@ RR

Lorsque le pays ne sera plus que l'ombre de lui même, tous (les survivants) se tourneront vers le roi, Cela tombe sous le sens car il est la tête du corps de la patrie, cette famille des familles, comme le Christ est la tête de l'Eglise.

Mais il faut accepter de dépasser la pensée politique et les livres pour comprendre cela. C'est l'intuition et les tripes qui parlent, mais elles s'appuyent aussi sur la preuve historique. La royauté française a construit un pays idéal : moderne, puissamment armé et pacifique. Alors que la révolution, les dictatures, et les républiques nous ont mené à la ruine des libertés, des biens et des esprits. Sans commentaire, sinon qu'il eut fallu que le roi détruise les zélateurs de la littérature des Lumières (traduction = Nuits) et les sociétés de pensée secrètes.

Seul un roi, son armée et son peuple pourraient aujourd'hui affronter les monstres que sont le financisme moondialiste (j'invente ce mot pour le distinguer de la finance traditionnelle), l'islamisme, et le communisme. Et aucunement de simples (et actuellement fausses) démocraties. Nulle part, ni même en Suisse il n'y a de de démocratie.

*

Pour 1939/40 je sais tout cela, le fils du général Weygand - gradé légionnaire - l'a bien raconté dans son livre " Weygand mon père " documents d'époque et des archives du bureau de son père à l'appui. Mais il n'y avait pas que la désorganisation de l'armée, il y avait la peur de se battre parmi les officiers issus du rang qui avaient vécu 14/18 20 ans auparavant. La peur de la boucherie. Les bombes, les gaz, et les tribunaux de guerre pour ceux qui devenaient fous et ne pouvaient monter à l'assault, la vie qui s'en va dans l'enfer et son cloaque froid. Avec, juste derrière, les banquiers et les politiciens qui font ripaille chez Maxim. Mon grand père, sergent, m'en parla quelquefois. Et il y avait ses photos, à Verdun.

Mon père, également, me parla peu de 39/40 comme parlent peu les hommes qui ont vécu des moments terribles comme la guerre.
De la déclaration de guerre en 1939 jusqu'à l'invasion éclair allemande s'écoulèrent de très long mois : une demie année. Des Soldats Français, impatients, faisaient des incursions en Allemagne sur le front Est, sans rencontrer de véritables résistances allemandes que des nids de mitrailleuses, qui certes faisaient des victimes. Mais leurs officiers (lieutenants et capitaines) étaient tétanisés et les soldats de ces commandos, tous volontaires mais sans entraînement, étaient pratiquement livrés à eux même dans le feu de ces combats, qui durèrent 6 mois. Des héros dont on ne parle jamais.

Dominique


@ RR
Un dernier mot de ma part sur La révolution comme crime, dont notre chroniqueur nous fait connaître toutes les facettes.

Concernant les couronnes d'Europe : ne tirez plus sur les rois. Ce serait comme tirer sur des ambulances tellement leurs prérogatives ont été rabotées, piétinées.

Voyez plutôt qu'il n'y avait pas d'autre solution pour l'Espagne, comme il n'y en eût pas d'autre pour le peuple grec, à sa libération du joug de l'Ottoman ; bons sens populaires obligeaient. Et cela doit faire réfléchir les intellectuels comme vous.

Évidemment en Espagne, les rouges, les socialistes, les ennemis des chrétiens et autres cohortes révolutionnaires cachées ou discrètes rongeaient leur frein. Aujourd'hui le Roi d'Espagne ne peut même pas s'opposer au viol de la sépulture nationale du Général Franco par le gouvernement, qui n'est donc plus "son" gouvernement !

Et, pour prendre un autre exemple dont parle souvent aussi notre chroniqueur, la Reine n'eut pas la possibilité de soutenir Sir Mosley lorsqu'il prévint des conséquences à venir de la subversion migratoire, aujourd'hui hélas réalisées puisque chaque jour des bandes exotiques tuent au couteau des jeunes ados. blonds dans Londres et autres métropoles !
Et c'est silencieusement que Blair le menteur (cf. son canon de 2 km de long pour les obus de destruction massive de l'Irak) - au service du financisme mondialiste - fit supprimer les dernières prérogatives de la Reine en lui enlevant le droit de dissolution et en créant une "cour" suprême bidon. Il y a 10 ans ; ces criminels ne lachent jamais leurs proies.

Il ne reste en Europe que les symboles et c'est bien puisqu'ils invitent les générations à relire l'Histoire avec l'inexorable ascension de l'occident chrétien. Les monarques sauront parler le moment venu.
Il y eut aussi des empereurs comme Charlemagne et Charles Quint et aussi des Tsars.

Peut être qu'un historien a déjà travaillé sur les mérites des royautés, ou bien nos auteurs français ? Auteurs qui ont payé chèrement leurs pensées royales comme vous le rapportez, et que vous avez cités sans les nommer tous. Charles Maurras ("La patrie, cette famille des familles " cela est de lui, je crois) et tant d'autres qui n'étaient pas des idiots, et que vous appréciez.
Ils ont vraisemblablement expliqué la filiation entre le Roi et la Patrie, forte comme l'attachement du paysan à sa terre. Et c'est encore mieux lorsque le roi est oint car alors il guérit et l'on croit encore mieux puisqu'il relie alors par sa personne son peuple avec Dieu trinitaire.

Beaucoup a été écrit sur les crimes du communisme, et il faut sans cesse continuer ( cf. Est-Ouest en France) d'autant qu'il n'est pas mort, et que de nouvelles tyrannies surgissent qui l'égalent en horreur. Il conviendra de le faire contre l'islamisme, et contre le financisme mondialiste qui les soutient et fait aussi ses propres dégâts.

Je fais le voeu qu'on puisse étudier selon la méthode des historiens, la beauté et l'efficacité du système royal de gouvernement à la française et à l'européenne. C'est à dire selon l'histoire de notre occident chrétien. Le modernisme n'y change rien : il n'y aura pas photo à mon avis.
Êtes vous partant pour cela ?

Cette ma libre opinion, dans cette Chronique des libertés.

RR

@ Dominique


Comme Maurras, je pense que vous idéalisez la royauté et ne tenez pas compte de ses évolutions (à partir au moins de Louis XIV jusqu'à notre dernier roi Louis Philippe).
Bien entendu, je ne saurai vous contredire sur le bilan désastreux des républiques dans notre pays, ceci dû à leurs "valeurs" pour la plupart intrinsèquement pourries (et qui ne sont pas forcément celles d'autres républiques telles entre autre celle de Hongrie). Mais peut-être qu'en France pour des raisons historiques, la République ne peut qu'être cosmopolite et affairiste (et de ce point de vue les "réformes" prônées par Déroulède et Barrès étaient au fond peut-être illusoires); contentons-nous donc d'être partisans de la démocratie donc démocrates et écartons un changement positif "républicain" dans le cadre donc de la République décidemment trop pourrie. Aucun problème. La République telle que nous la vivons - je devrai dire telle que nous la subissons -, qu'elle crève ! Je crois que la cause est entendue.

Mais moi je pense qu'il faut rester réaliste et s'orienter vers le possible, et c'est pourquoi pour moi il faudrait s'intéresser de près aux modèles suisses et américains.

Dominique

N'ayant pas la bibliothèque qu'il faudrait j'ai recherché aussi bien que possible, sur le net, de quoi me permettre de connaître les qualités de la monarchie, particulièrement de la monarchie française, qui est de droit divin.

Ma récolte fut maigre. Je cite pour mémoire : http://www.democratie-royale.org/article-pourquoi-etre-royaliste-aujourd-hui-g-a-r-93178773.html qui proclame que “ Toutes les grandes civilisations du monde, qu'elles soient Égyptienne, Sumérienne, Mésopotamienne, Gréco-romaine, Celtique, Maya... etc., toutes ces civilisations qui suscitent aujourd'hui beaucoup d'admiration et de mystère, avaient toutes un point commun : c'était des monarchies.”
Et : " Comme le disait si bien Vladimir Volkoff :
La monarchie est un système politique qui a produit, entre autres, la civilisation égyptienne, la culture perse, la Grèce archaïque, l'empire romain (conservé pendant mille ans de plus sous la forme régénérée de Byzance), inspiré l'Israël de l'Ancien Testament, les Incas, les Chinois, les Turcs, les japonais, fondé la Russie et la France, fécondé les arts et les lettres, érigé les plus superbes monuments sous toutes les latitudes et les longitudes."

*

Je retiens un site http://www.viveleroy.fr pour la grande richesse de deux de ses bloguelistes :

- l'une intitulée : Référentiel, où l'on trouvera des extraits de saint Thomas d'Aquin, de Louis XIII, de Richelieu, de Bossuet évidemment, jusqu'à François Bluche (sur la monarchie française de droit divin), aussi Soljenitsyne, etc. Tous plus intéressants les uns que les autres. Quelques exemples :

http://www.viveleroy.fr/Discours-sur-la-Revolution-par,89
en hommage à Soljenitsyne, en Vendée

https://www.viveleroy.fr/Le-Declin-du-courage-par-Alexandre,65
Soljenitsyne appelle à assumer notre nature divine. A Harvard. C’était il y a 40 ans. Un discours - très actuel - sur l’échec de la société américaine et l'Ouest en général.

De Bossuet ( l'Ancien et le Nouveau Testament pour fondements de la royauté):
http://www.viveleroy.fr/Nature-et-proprietes-de-l-autorite-royale-par-BOSSUET

https://www.viveleroy.fr/De-l-autorite-que-la-royale-et-hereditaire-est-la-plus-propre-au-gouvernement

https://www.viveleroy.fr/Des-principes-de-la-societe-parmi-les-hommes-par-BOSSUET

https://www.viveleroy.fr/Lettre-a-monseigneur-le-Dauphin
sur la nécessité, pour Louis XV, de bien former sa raison pour diriger un grand pays.

De F. Bluche : sa synthèse que ma petite personne trouve magistrale, sur la monarchie française
https://www.viveleroy.fr/La-monarchie-absolue-de-droit-divin-par-Francois-BLUCHE

Et une présentation non moins intéressante :
http://www.viveleroy.fr/Qu-est-ce-que-la-monarchie-par-Guy-AUGE-1992


- voir également l’autre blogueliste intitulée : Études, dont la liste est passionnante


(J'ai ignoré les thèmes sur la légitimité du roi de France actuel. Ce n'est pas le sujet. Et le site sait en traiter séparément.)

RR

@ Dominique


"(…) Voyez plutôt qu'il n'y avait pas d'autre solution pour l'Espagne (…) Aujourd'hui le Roi d'Espagne ne peut même pas s'opposer au viol de la sépulture nationale du Général Franco par le gouvernement, qui n'est donc plus "son" gouvernement !"

Franco aurait pu instaurer une démocratie organique telle que le préconisaient les phalangistes, plutôt qu'une pseudo-démocratie "à la française" via le rétablissement (ou plutôt l'établissement, Juan Carlos n'était pas le "prétendant") de la royauté.
C'est Juan Carlos qui s'est porté garant du "retour" de la "démocratie" rougeâtre.
Pour ma part, je n'ai pas de sympathie pour Franco (même si le préfère évidemment à De Gaulle: lui au moins n'a pas pactisé avec les communistes et a au contraire préservé son pays du bolchevisme - tout en arrivant astucieusement à préserver l'Espagne du Second conflit mondial).


"(…) la Reine [d'Angleterre] n'eut pas la possibilité de soutenir Sir Mosley lorsqu'il prévint des conséquences à venir de la subversion migratoire"

Je pense que vous voulez dire Enoch Powell. Rien ne prouve que la Reine quant bien même en aurait elle eu la possibilité (ne l'avait t-elle pas d'ailleurs ?) aurait apporté son appui à ce visionnaire. En tout cas - et ça nous en avons la preuve par ses déclarations -, son fils ainé (héritier de la couronne) ne se situe pas sur une ligne disons identitaire (et ne parlons même pas du fils ainé de ce dernier, héritier en second).


Quant à la monarchie de droit divin, déjà abandonnée par Louis-Philippe, comment imaginer son retour dans une France aussi déchristianisée et cerise sur le gâteau si j'ose dire avec une Église ayant à sa tête un hérétique ?

"(…) Et cela doit faire réfléchir les intellectuels comme vous."

Je ne me défini pas comme intellectuel, car souvent les "intellos" privilégient leurs conceptions fussent-elles utopiques et même si le réel les contredit. Partant de là, un scientifique ne peut être un intellectuel. Je ne fais par exception à la règle. Il ne faut pas confondre intellectuel et personne cultivée qui exploite ses connaissances pour en déduire des pistes à suivre.

RR

Un exemple de ce que fait une pouvoir non-démocratique:
https://www.francetvinfo.fr/societe/changement-d-heure/on-change-d-heure-dimanche-et-ca-ne-sera-pas-la-derniere-fois_3675095.html


Ce que ferait un pouvoir démocratique:
Question soumise à référendum aux Français:
Êtes-vous favorable au maintien du changement d'heure (été/hiver) ?
Si majorité de non (à 84 % ?!) => Suppression du changement en question dès l'année suivante, quoi qu'en pense telle ou telle commission sans la moindre légitimité démocratique.

Dominique

@ RR

Nous sommes en accord sur bien des points ce qui permet de se disputer.
Je ne crois pas que les démocraties suisses et américaines soient la solution. Mais évidemment leurs systèmes seraient infiniment meilleurs que le nôtre issu de chaos successifs.

La Suisse doit sa réussite aussi à sa petitesse, sa situation géographique exceptionnelle et son carrefour de sociétés chrétiennes : allemande, italienne et française. Mais les Suisses sont en danger, avec la pression de l'EU et de ce que j'appelle le financisme, ou le financiérisme, mondialiste qui peut tout acheter, tout corrompre.

Les USA ne sont plus qu'une démocratie de façade, avec un Gouvernement de l'ombre et un État profond qui ont pénétré l'Administration fédérale depuis des décades c'est le système Bush Clinton Obama. La victoire des Trumpistes est un accident heureux mais elle repose sur quelques dizaines d'hommes seulement aux caractères trempés et qui ont un amour immense pour leurs concitoyens. Une lutte à mort se déroule actuellement entre vrais Conservateurs et complotistes (le clan Clinton arkancide ).

Il y a bien sûr l'Amérique profonde, traditionnelle, conservatrice, généreuse, avec ce goût de vivre ensemble, de la liberté, de la responsabilité et de la propriété. Mais si vous suivez la Primaire communiste - pardon démocrate - sur un site d'information non dominant (Infowars.com ou breitbart.com par exemple) vous seriez sidéré des discours de haine des candidats contre leur Président actuel; jusqu’à des appels au meurtre contre Donald, Melania, et leur famille par des acteurs de Hollywood. Des milliards sont sur la table, jusqu'en Chine communiste.

Beaucoup beaucoup de dirigeants sont profondément corrompus et ils tiennent le pays comme dans une gigantesque toile d'araignée avec la CIA le FBI et des dizaines d'agences et des acteurs de Hollywood, et tous les grands médias dominants ( à part Fox News ) et les GAFA.

Ce pays encore le plus puissant pays du monde et le plus riche affiche aussi depuis des années un déficit du budget fédéral de plus de 1.000 milliards de dollars par an et une dette incommensurable de plus de 22.000 milliards. Les USA sont dans les mains des banksters depuis la privatisation de la FED par Wilson, qui le regretta immédiatement...

Et notre BCE européenne fonctionne selon le même système. Qui peut d'ailleurs en expliquer le fonctionnement, à part les économistes libéraux français : Georges Lane, Pascal Salin, etc. ? Certainement pas les journaleux économistes ni nos dirigeants. Pour le reste nous sommes manipulés plus encore que le sont les Américains. Puisque nous n'avons ni le 1er ni le 2nd Amendement qui changent tout.

La technique, l'électricité, l'intelligence artificielle ( qui existe depuis longtemps dans le finance), les GAFA, les médias dominants 7x7 et les gouvernements secrets comme le CFR, Bilderberg et la Trilatérale, ont considérablement affaibli les possibilités des systèmes constitutionnels remarquables comme ceux de la Suisse et des USA, mais écrites aux époques du cheval.

Relisez Soljenitsyne dans son exposé à Harvard. L'échec de l'Ouest qu'il voyait alors est bien un fait aujourd'hui.

C'est pourquoi je ne crois plus aux démocraties "retournées" (voyons également la France), ni aux démocraties couronnées dont les souverains avalent couleuvre sur couleuvre.

Ecoutons Soljenitsyne : remettons avant toute chose le spirituel au centre. Le nôtre est chrétien et il vient de loin. Il est accompli. Suisse et USA tiennent encore grâce à une christianisation forte, mais en baisse.

J'ai, enfin, franchi le mur de 1789 : seule une monarchie absolue et de droit divin peut et doit conduire un pays comme le nôtre. Comme un père conduit sa famille.

Dieu a tout créé, Il pourra donc faire avec les énergies que nous ne connaissons pas encore et qui mèneront les hommes vers d'autres planètes puis vers d'autres galaxies. La modernité n'est pas un problème, ses réussites matérielles facilitant au contraire les tâches humaines autrefois si pénibles.

Ce qui n'empêchera pas, au contraire, notre société de fonctionner avec le libéralisme à la Française :-) Puisque sans christianisme pas de libéralisme.

Mais Dieu ne sera pas aux commandes. Le roi le sera.

Les textes de Bossuet et de François Bluche ne peuvent vous laisser indifférent. Vous qui avez lu tant d'auteurs politiques, tenter l'aventure de lire l'Ancien et le Nouveau Testament selon Bossuet. Il met bien en valeur les fondements de notre société, et dont elle n'aurait jamais dû s'écarter.

Quant à François Bluche il est dans le 21ème siècle ! Il traite même de l'Euro : c'est au roi qu'il revient de battre monnaie, (pas à la BCE ou à Zuckerberg !)

Nous n'avons pas le choix à mon avis. Ce sera une monarchie absolue et de droit divin, ou une société du type Orwell-Matrix dans laquelle nous sommes en train d'entrer.

Trois auteurs : Soljenitsyne, Bossuet, Bluche, pour nous aider. J'écris sous le contrôle de notre chroniqueur préféré, qui doit constater combien ses chroniques interpellent de plus en plus ses lecteurs. Il est vrai qu'il pose avec force les vrais problèmes : “ La révolution comme crime et comme déclassement “ Et comment en sortir. Ceci dit humblement.

RR

@ Dominique


Je ne peux (hélas) que vous donner raison à propos de tout ce que vous écrivez sur la Suisse et les États-Unis; mais pour moi il ne s'agit pas de les considérer comme des modèles à imiter inconditionnellement mais plutôt de retenir certaines "choses" expérimentées dans ces pays et qui se sont révélées positives.


"C'est pourquoi je ne crois plus aux démocraties "retournées" (voyons également la France), ni aux démocraties couronnées dont les souverains avalent couleuvre sur couleuvre."

Le problème pour vous ainsi que pour tous les royalistes (Nouvelle Action Royaliste exceptée), c'est que dans notre monde contemporain, la royauté ne peut être que constitutionnelle. Bertrand Renouvin (Nouvelle Action Royaliste) que j'ai ici souvent évoqué l'a parfaitement démontré et accepté; il semble par ailleurs que la Restauration Nationale (directement issue de l'Action Française et dont Renouvin et quelques autres se séparèrent au début des années 70) se range elle-aussi petit à petit à cette idée, Renouvin ayant été un précurseur en quelque sorte. Seuls des mouvements tels que la Contre-Réforme Catholique (CRC) de l'abbé de Nantes, même si ce dernier aujourd'hui disparu ne se faisait guère d'illusions et voyait - du moins comme solution provisoire - une dictature de Salut public (telle justement celle établie en Espagne par le Général Franco) prônent encore le retour à la monarchie de Droit divin (CRC = Catholique, Royale, Communautaire).


"Dieu a tout créé, Il pourra donc faire avec les énergies que nous ne connaissons pas encore et qui mèneront les hommes vers d'autres planètes puis vers d'autres galaxies."


En tant que scientifique (et passionné d'astronomie), j'ai de sérieux doutes que cela puisse un jour arriver !


Dominique

@ RR
Je n'ai pas lu B. Renouvin, et vous avez certainement compris que j'en suis venu au roi depuis peu.

Pourquoi considérer que "notre monde contemporain" - pour reprendre votre expression - n'accepterait qu'une monarchie constitutionnelle ? Ne croyez pas que dans la monarchie absolu et de droit divin françaises il n'y a pas de lois constitutionnelles (il y a meme6 des Parlements régionaux,etc.)

Notre monde contemporain est trop mal constitué pour penser la royauté ; il a même retourné la démocratie ! Comme nous le savons le financiérisme tient entre ses mains le monde contemporain. Il y a deux siècles, le premier des grands Rothschild disait que celui qui tient la “banque” tient l'état.

En occident, malgré gouvernement secret, médias dominants, policiers, et juges, le peuple et des intellectuels s'accrochent à l'espérance de la démocratie, bien qu'elle devienne un cauchemar. En Chine communiste, par son parti, ses polices et ses camps d'extermination, il ne reste au peuple que le désespoir.

Mais dans le 1er camp, le financiérisme est quasiment parvenu à retourner le système démocratique, sur le dos comme une tortue ou presque. Et dans le second camp le financiérisme est venu au secours des membres dirigeants du parti communiste : il y aurait maintenant plus de jeunes milliardaires en Chine qu'aux USA.

Alors ne parlons plus de nos démocraties dont les gouvernants s'étaient déjà sont tous couchés devant Staline à Yalta, puis devant Mao. D'où Soljenitsyne : il manque à l'Occident le courage.

Et les gouvernants actuels se couchent aujourd'hui devant d'autres furies qui veulent les dévorer matériellement et spirituellement : les idéologies du réchauffisme et des migrations ( elles détruiraient le progrès technique et les nations … rien que cela), les manipulations génétiques, le transexualisme, le trasnshumanisme, etc.

“Comment en sommes nous arrivé là ? “ Pour reprendre à nouveau une question de notre chroniqueur.

Les constitutions démocratiques ne sont pas capables d'assurer le bonheur des peuples car elles sont sans tête. Sinon celles du financiérisme. Or le gouvernement par le financiérisme n'est pas un bien car il ne permet pas aux hommes d’accomplir leur fin : le bonheur, en réalisant le bien commun.
Et des lois des démocraties retournées ne rendent pas les citoyens vertueux, ni n’établissent plus ni la justice ni la paix

Cette belle tête qui manque au peuple et aux lois est celle du roi. François Bluche rapporte (1) un propos de Louis XIV :
« Comme nous sommes à nos peuples, nos peuples sont à nous. »
« Chaque profession contribue, en sa manière, au soutien de la monarchie », du prince régnant au plus humble artisan. Et pour mieux souligner son propos, Louis XIV parle du « métier » de Roi, appliquant audacieusement un mot vulgaire à la noble tâche du gouvernement.

Certes cette organisation était ( et reste ) fondée sur la loi chrétienne. Elle mit dix-huit siècles pour s’épanouir en France depuis la venue de Dieu-Le-Fils sur terre. Si le roi était un meurtrier, un voleur, un menteur, etc. Il ne serait pas roi. Non plus s'il était bigame, ou devenu islamique.

Donc c'est naturellement que le roi de la France chrétienne tient son autorité de Dieu, et que l'on parle de monarchie absolue, c'est à dire parfaite, et de droit divin. ( Ce qui donne au le roi le don de guérison.)

Évidemment le roi n'est pas omniscient : s’il domine l'Exécutif, le Législatif, et la Justice, il est entouré de son Conseil, et est conseillé par ses Ministres. Et le pouvoir du roi n’est pas absolu au sens actuel : il est limité par des lois constitutionnelles (qui ont constitué l’état), et borné par les multiples corps intermédiaires qui fonctionnent quasiment en autonomie et accomplissent le bien commun. ( 1 )

Pourquoi vouloir alors un “ pouvoir “ par le peuple puisqu'il y a une union, mystique, entre le roi et le peuple ?

Franchir à rebours le mur de 1789 pour penser au roi comme réponse au “ pourquoi en sommes nous arrivés là ? “ puis comme solution, semblerait aberrant à un étudiant endoctriné par le ministère de l’éducation nationale. Mais moins ou pas du tout à un modeste lecteur de l'Insolent ( et de livres des éditions du Trident).

Bref l'idée de roi de monarchie absolue et de droit divin n'a rien
d'invraisemblable dans un pays aux racines chrétiennes.

D'autres civilisations ( chinoises en particulier) fondèrent également leur gouvernement monarchique sur leur Ciel. Je suis insuffisamment formé pour en parler ici.


À ceux qui ne croient pas en le Dieu chrétien, je proposerai bien le pari de Pascal. L'enjeu le vaut.


( 1 ) toujours dans cet extrait :

https://www.viveleroy.fr/La-monarchie-absolue-de-droit-divin-par-Francois-BLUCHE


RR

@ Dominique


« Pourquoi considérer que "notre monde contemporain" - pour reprendre votre expression - n'accepterait qu'une monarchie constitutionnelle ? Ne croyez pas que dans la monarchie absolu et de droit divin françaises il n'y a pas de lois constitutionnelles (il y a même des Parlements régionaux, etc.) »

Parce qu'en dépit d’un (compréhensif) certain dégoût des urnes, les Français dans leur immense majorité sont attachés à leur souveraineté politique (même si nous, nous en avons fait l’analyse, elle est constamment bafouée, mais les apparences subsistent). J’irai même plus loin : la royauté a disparu depuis trop longtemps pour qu’elle soit considérée là encore par une immense majorité de Français d’une quelconque utilité y compris sous une forme constitutionnelle « à l’espagnole » ; d’ailleurs en Espagne justement, ce qui progresse, c’est au contraire la volonté de s’en passer ! Un passé positif pour certains, négatif pour d'autres,... Mais dans tous les cas toujours un PASSÉ.


« En occident, malgré gouvernement secret, médias dominants, policiers, et juges, le peuple et des intellectuels s'accrochent à l'espérance de la démocratie, bien qu'elle devienne un cauchemar. En Chine communiste, par son parti, ses polices et ses camps d'extermination, il ne reste au peuple que le désespoir. »

Les termes démocratie/démocrate (tout comme ceux de libéralisme/libéral, de république/républicain voire même celui de socialisme/socialiste et de nationalisme/nationaliste) peuvent vouloir dire tout et leur contraire. Cela permet aux oppresseurs du peuple que nous subissons de s’en réclamer tout en les bafouant (démocratie = souveraineté du peuple). Alain de Benoist a eu le mérite de faire une étude sur la question et de mettre un terme (du moins chez beaucoup) au réflexe de condamnation de la démocratie cher à « l’extrême-droite » (et que j’avais moi-même dans le passé) la réduisant automatiquement au régime en place chez nous, sans réfléchir qu’elle pouvait être autre et positive.


« Les constitutions démocratiques ne sont pas capables d'assurer le bonheur des peuples car elles sont sans tête. Sinon celles du financiérisme. Or le gouvernement par le financiérisme n'est pas un bien car il ne permet pas aux hommes d’accomplir leur fin : le bonheur, en réalisant le bien commun. »

Elles sont sans tête parce qu’il n’y a personne pour s’acquitter du rôle non de dictateur, mais de coordinateur et d’exécuteur des volontés du peuple. C’est en effet un vrai problème.


« Franchir à rebours le mur de 1789 pour penser au roi comme réponse au “ pourquoi en sommes-nous arrivés là ? “ puis comme solution, semblerait aberrant à un étudiant endoctriné par le ministère de l’éducation nationale. Mais moins ou pas du tout à un modeste lecteur de l'Insolent (et de livres des éditions du Trident). »

Non, on ne peut pas revenir à l’avant 89. Je ne pense pas que Jean-Gilles Malliarakis soit d’un avis contraire. J’ai cru comprendre (il le confirmera ou l’infirmera) qu’il est devenu partisan d’une monarchie constitutionnelle (et non absolue). Là-dessus, je suis en désaccord avec lui.


« Bref l'idée de roi de monarchie absolue et de droit divin n'a rien
d'invraisemblable dans un pays aux racines chrétiennes. »

Je l’ai dit, la mentalité française a profondément changé. Le pays s’est profondément déchristianisé ; regardez dernièrement, il y a eu une enquête : de quoi la majorité des Français s’inquiète t-elle ? De la mise en péril du Catholicisme ? Non, de la laïcité ! (ce qui a dû ravir les francs-maçons). Le pays est de moins en moins chrétien de la faute certes des ennemis du christianisme, mais avant tout de l’Église elle-même gangrénée parce que l’abbé de Nantes appelait le Mouvement d’Animation Spirituelle de la Démocratie Universelle (MASDU). On notera que cette évolution satanique est annoncée dans l’Apocalypse de Saint-Jean.


RR

Alain de Benoist montre les "limites" de la doctrine maurrassienne:

https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/alaindebenoist/pdf/charles_maurras.pdf


Rappel: On peut lire avec profit "La République au Roi dormant" (publié chez Hachette, disponible en occasion) de Bertrand Renouvin; on peut d'ores et déjà lire l'entretien avec l'auteur au moment de la parution de l'ouvrage (1985):

http://archivesroyalistes.org/IMG/pdf/Royaliste434.pdf

(pages 6-7)

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