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« Moment autoritaire ou moment conservateur ? | Accueil | L'immigration peut devenir fédératrice des droites »

dimanche 22 sep 2019

Commentaires

RR

Les Black Blocs (que l'on aimerait un peu mieux connaitre, l'activité professionnelle de leurs "membres" notamment) arrange bien le pouvoir cosmopolite macronien car ils discréditent du fait de leurs exactions les manifestations qui lui sont hostile, et accentuent l'immonde répression envers les Gilets jaunes par des membres des "forces de l'ordre" pour beaucoup indignes de porter l'uniforme et qui devront un jour ou l'autre pour certains se retrouver aux Assises pour répondre de leurs actes.

Concernant l'Italie, je ne me suis jamais fait beaucoup d'illusions sur Salvini que certains comparaient sans peur de paraitre ridicule au père adoptif de la petite lionne. Orban et Poutine m'ont toujours paru beaucoup plus solides.

"(…) l'œuvre de redressement du pays remontant à la prise de pouvoir de Margaret Thatcher en 1979."

Comme me l'avaient dit à l'époque des nationalistes anglais, et comme je m'en suis rendu compte moi-même, cette femme avait une politique tout aussi immigrationniste que ses prédécesseurs et successeurs (ce qui ne gênait nullement la famille royale soit-dit en passant).

goufio

La gauche a appris à phagocyter tous les circuits de pouvoirs, de médias, d'ONG etc. Le résultat est là, même les partis politiques d'opposition sont devenus gauchisants il n'y a qu'à regarder en France

Laurent Worms

L'angoisse suscité par le saut dans le XXIè. siècle, avec son tout numérique, l'intelligence artificielle et la "loi" des
algorithmes, jumelée à celles sur le climat, donc le devenir de la planète, peut susciter un souhait de retour en arrière dans le style "c'était mieux avant". D'où le retour aux tendances réactionnaires et aux idéologies dépassées en premier lieux chez les pseudos défenseurs de classes populaires dont certains métiers sont en voie de disparition et qui ne voient pas ceux qui s'ouvrent .

Dominique

Réfléchissons sur ce retour du marxisme évoqué bien à propos : les technostructures propres au globalisme et au communisme ne sont elles pas convergentes ?

Ce qu'on appelle l'état profond et les médias dominants ne s'inquiètent nullement du (danger) marxiste et néo communiste, car sous leurs habits de "démocrates" ils sont pleinement marxistes et néo communistes : frontières ouvertes, politiques dirigistes technocratiques,

Et grâce aux "systèmes financiers" les états qui dépensent sans compter et les oligarques subventionnés par les émissions, gigantesques et devenues une pratique permanente, de fausses monnaies : quantitative easing de la Fed aux USA et facilités bancaires de la Bce en EU,

Aussi : contrôle quasi absolu de l'information, répression policière et judiciaire, corruption, etc.

Tout y est en EU, dans un bel emballage "démocratique" qui n'a de démocratie que le nom. Les opposants qui parlent vrai en savent quelque chose pour subir les amendes et les prisons.

Seuls quelques petits pays résistent comme la Pologne qui est "passée par là (le communisme)" et a une foi chevillée au corps, et les pays du Groupe de Visegrad.

Dominique

Impossible aujourd'hui, il me semble, de parler de retour des idées marxistes sans regarder les USA :

Aux USA - pays dont je suis l'évolution depuis l'élection de D Trump et dont j'ai un peu appris le fonctionnement des institutions - le peuple républicain, et libertarien, résiste à nouveau grâce à l'élection d'un président attaché aux principes de la démocratie américaine, qui a su et pu fédérer les amoureux de la liberté, avec les parlementaires conservateurs.

Mais actuellement la primaire des Democrats - qui dure depuis 6 mois , c'est autre chose qu'en France - donne lieu à un déballage de programmes marxistes plus ou moins pires. Ils sont 17 candidats plus ou moins forcenés, soutenus à 200 % par les grands médias dits mainstream ... Cet afflux du marxisme chez les Democrats est sidérant, nul au point de nous faire rire, mais réellement dangereux.

Heureusement les Américains ont cette liberté totale de parole, d'opinion, de réunion, de manifestation, et de religion (1er amendement) et ce droit unique au monde au port d'armes qui les protège d'un gouvernement tyrannique (2ème amendement).

La bête tente d'avancer (Face book, Twit ter et compagnies ont interdit de paroles et d'images de nombreux chroniqueurs de la liberté) mais elle est toujours repoussée.

Espérons que les USA conserveront intacte leur Constitution et leurs institutions conservatrices (Écoles et universités privées, fondations libérales, etc.) car ils restent (avec la Suisse et peut être d'autres pays que je ne connais pas (les Indes ?) le pays symbole pour le monde : de la démocratie, de la subsidiarité, et de la liberté :

c'est encore Le pays Conservateur au sens où nous l'entendons ici à l'invitation de notre chroniqueur, malgré leur shadow government, leur Deep state et la corruption qui va avec.

Et aussi un pays très majoritairement chrétien, d'où cette grande solidarité et empathie, inimaginable chez nous.

Dominique

Revenons chez nous où le rideau est hélas tombé et occulte les (vrais) Conservateurs. Il est grand temps de relever ce rideau, en France, pour devenir enfin conservateur.

Si j'ai bien compris il faut faire lire Chateaubriand et Bastiat, et d'autres, aux nombreux publics néo communistes : technocrates, politiciens, syndicalistes, professeurs et étudiants, journalistes, chroniqueurs, curés et évêques, fonctionnaires, chômeurs, enfants réchauffistes, j'en oublie, ... et électeurs. Ce serait l'idéal.

Ce sera une oeuvre de longue haleine, et du boulot pour les auteurs conservateurs, leurs éditeurs, imprimeurs et libraires : je ne plaisante pas puisque les médias (1) et l'état profond (éducation et enseignement nationalisés, etc.) barrent la route aux idées et aux auteurs libéraux (… le pays des Lumières - MDR )
Bravo et merci à eux tous :-)


(1) Histoires drôles :

sur Bfm, dans une rubrique de livres économiques, j'ai entendu le chroniqueur présenter F. Bastiat comme étant un pamphlétaire, pour évidemment décourager les auditeurs de lire Bastiat. Lequel est lu et enseigné dans le monde entier sauf chez nous.

J'ai appris, ailleurs, qu'une grosse tête de cette radio a été invitée par le Bilderberg ; il ouvre depuis, une fenêtre supplémentaire de bourrage des crânes sur une radio d'état.

Dominique

Ce serait effectivement un comble que (30 ans après la chute du Mur) les néo marxistes viennent au pouvoir dans des pays de l'Europe de l'ouest, qui ne souffrirent nullement de l'occupation soviétique de 1945 à 1989 !

Dans un déplacement à mon avis opportun en Italie, Victor Orban nous rappelle que les pays de l'ouest européen ne firent rien pour délivrer les pays de l'est sous la botte du communisme soviétique. (En Hongrie, lors de la révolte de 1956, seuls des Situationnistes français restèrent à affronter les chars soviétiques jusqu'aux derniers instants possibles.)

https://present.fr/2019/09/23/viktor-orban-en-italie-ovationne-par-la-foule-qui-chante-avec-lui-avanti-ragazzi-di-buda-video/

Or on entend Bruxelles railler Budapest, mais pas contre le néo marxiste Corbyn à la tête du Labour britannique, ni contre le nouveau et espérons provisoire gouvernement gauchiste de l'Italie. Cherchons l'erreur.


Dominique

A votre florilège du programme néo marxiste du Labour il convient d'ajouter ( cela vient de sortir ) la nationalisation de tout ou partie des établissements d'enseignements privés avec la revente de leurs actifs, et la semaine de 4 jours sans diminution de salaire.

Pendant la prorogation du Parlement les élus du Labour se déchainent donc d'autant plus qu'ils se déchirent à propos du Brexit !

On voit mieux d'où venait le chaos parlementaire, et la justesse de la prorogation proposée à la Reine par le Premier ministre, à mon avis. " Est ce une révolte parlementaire ? " - " Non Majesté une tentative de révolution, par le Labour. "

Robert Marchenoir

@ Dominique

"La semaine de 4 jours sans diminution de salaire."

Rions un peu. Qui d'autre vient de proposer cette mesure ? Le premier ministre russe, Dmitri Medvedev.

Bon, il n'a pas précisé "sans diminution de salaire". Il a prudemment laissé ce détail dans le vague.

Et cette mesure n'a aucune chance d'être appliquée, la Russie ayant une productivité catastrophique. C'est juste une tentative de la part de Medvedev, très impopulaire, de redresser un peu son image...

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