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L'acte VIII des gilets jaunes a sans doute montré qu'un retour de flamme peut se produire. Peu importe le fléchissement, ininterrompu de semaine en semaine, depuis le pic de 382 000, annoncé le 17 novembre, lors des premiers défilés. Ce 5 janvier, toujours en ne se basant que sur les chiffrages du ministère de l'Intérieur ce mouvement informel est remonté, de 32 000 manifestants le samedi précédent à 50 000, dont 3 500 à Paris et pas mal d'incidents spectaculaires. Comme dans le sketch de Robert Lamoureux, oublié des jeunes générations, mais combien subtil et élégant, le canard reste donc toujours vivant.
En fait, il vient de plus loin qu'on pourrait croire. Pour comprendre, en effet, la marche des événements, on gagne toujours à solliciter la chronologie. Ainsi le discours de Macron du 10 décembre nous a montré Jupiter commençant à se déballonner. Il condamne certaines violences jugées inadmissibles. Mais il donne raison sur le principe à pas mal des 42 revendications fabriquées par les équipes mélenchonistes et cégétistes à l'usage des Gilets jaunes.
Or, ce retournement doit être compris comme l'aboutissement d'une démarche esquissée dès le mois de septembre.
Bien avant l'agitation anarchique, développée à partir de novembre sur les réseaux sociaux, c'est le 13 septembre, que le chef de l'État lui-même avait cru pouvoir lancer un prétendu plan pauvreté en direction des 9 millions de Français les moins fortunés.
Il s'agissait, dans l'esprit des communicants vaseux de l'Élysée, de corriger l'image de président des riches. Celle-ci lui colle à la peau et, quoiqu’il cherche à faire pour s'en débarrasser, elle l'accompagnera éventuellement jusqu'à la fin de son mandat, fixée en principe en 2022, sauf accident de parcours.
À cette date rappelons aussi que, disposant d'une majorité confortable au sein de l'assemblée, les 309 députés sur 577 qui avaient été élus en 2017 sous l'enseigne de La République en marche, avec 6,4 millions de voix soit 28 % des suffrages exprimés, seront également soumis à réélection.
Entre-temps, l'échéance électorale de mai 2019 pour élire le Parlement européen menace elle aussi de faire tanguer le pouvoir.
Urgence par conséquent de rectifier le tir.
C'est ainsi en qualité de délégué général du parti que, dès le lendemain du plan présidentiel et gouvernemental, le 14 septembre, Christophe Castaner, alors ministre des relations avec le parlement, imagina opportun de lancer le sujet d'une compensation de l'amputation de l'ISF, transformé en IFI, au gré d'un "débat sans tabou" sur une hausse des droits de succession.
Il brûlait les étapes. Cette maladresse s'exposa très vite, 3 jours plus tard, à un désaveu du Maître des Horloges.
N'empêche que la machine démagogique égalitaire était lancée depuis 48 heures. Et, le 15 septembre, l'artillerie de l'éditorial du Monde intervenait. Le texte était signé par l'inévitable Françoise Fressoz, toujours disponible quand il s'agit d'énoncer une sottise comme s'il s'agissait d'une nécessité civique. Et de développer par conséquent, sous l'apparence de fausse objectivité qu'adopte toujours son journal l'avertissement selon lequel "à l’approche des élections européennes, dominées en Europe comme en France par l’affrontement entre progressistes et populistes, le président de la République ne peut se laisser enfermer dans l’image du candidat des riches, porte-parole de la seule droite libérale. Il lui faut d’urgence réarmer idéologiquement le macronisme en se souvenant de l’apport que lui a fourni une partie de la gauche, au moment de la campagne présidentielle."
Relançant ce mécanisme fiscaliste, le cénacle Terra Nova, qu'on n'entendait plus et dont on espérait être débarrassé, lançait l'idée d'augmenter de 25 % la taxation des héritages.
Cette proposition se veut représentative de la justice fiscale. Elle méprise superbement l'opinion publique réelle au sein de laquelle 82 % des Français jugent les droits de succession illégitimes.
Or, l'État central parisien applique déjà aux grosses successions le taux marginal le plus élevé d'Europe en les taxant à 45 %. La crainte de cette guillotine fiscale produit, en fait, dès maintenant plus d'exilés fiscaux que l'ISF.
Peu importe à nos réformateurs que les services théoriquement compétents de Bercy, accaparés par le passage au prélèvement à la source, s'avouent actuellement incapables d'une étude d'impact : il suffit que les économistes bien en cours, tel Jean Pisani-Ferry, "venu des rangs de la gauche, ait fermement plaidé pour que la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune sur les revenus financiers s’accompagne d’un relèvement" du taux marginal des droits de successions. La cause est entendue auprès de ces milieux, bien habillés et bien nourris, propres sur eux, vivant confortablement d'argent public, souvent depuis des générations.
Dire que la république jacobine reste seule à tenir son discours égalitaire relève d'ailleurs de l'injustice. Cela revient à faire fi des réussites les plus exemplaires : d'abord celle de Cuba où, depuis 1959, tous les locataires sont devenus propriétaires de leurs appartements sans disposer du droit de le vendre. Ce pays n'est pas demeuré isolé. Son expérience a bénéficié par la suite au Venezuela de Chavez puis Maduro, mais aussi au Zimbabwe, au Nicaragua, et pendant quelques années, de 1983 à 1987, au Burkina Faso de Sankara. Seule la Corée du Nord semble donner des signes de fléchissement.
JG Malliarakis
Cette haine de la propriété privée semble tenue par des personnes agissant justement en propriétaires...
Rédigé par : Duracuir | lundi 07 jan 2019 à 00:21
je viens de terminer mon ce jour chez Kim yong un en octobre
faites un tour et parlez moi de ce pays souverain . Pourtant je suis anti coco primaire et même secondaire et tertiaire mais c'est leur vie comme si vous aller critiquer les Amiches ou Témoins de Jéhovah ou Bouda ou mille autres adorations.
Tant qu'ils nous envahissent pas où est le problème
Rédigé par : carel wijngaards | lundi 07 jan 2019 à 00:40
Depuis 1958 tous les gouvernements, de droite comme de gauche, ont multiplié les lois attentatoires aux libertés individuelles et les dépenses pharaoniques. Ils ont tiré sur la ficelle jusqu’à provoquer, fin 2018, une révolte populaire approuvée par 80% des Français.
Les Gilets Jaunes et le peuple français dans son ensemble, font preuve d’une maturité politique remarquable en réclamant la mise en place du Référendum d’Initiative Citoyenne. Les Gaulois ne sont pas allergiques aux réformes, finalement.
Les Français sont un peuple évolué lourdement handicapé par un pouvoir politique indigne d’un pays développé. Contre le RIC, les politiciens des partis de gouvernement vont hurler au populisme et se battre jusqu’au bout. Les chances de remplacer notre dictature des élus par une démocratie véritable paraissent donc, malheureusement, très faibles.
Mais ce n’est que partie remise, l’idée a maintenant acquis une forte notoriété, elle se répand à l’étranger et finira par s’imposer.
Remarque :
Certains organismes étatiques français ont bien résisté à la gabegie ambiante : le Conseil d’État et la Cour des Comptes, en particulier. Le Conseil fait une critique fondée et sévère de la qualité des lois qui paralysent la France. La Cour dénonce les dépenses publiques injustifiées qui ruinent la France. Sans le moindre résultat, le rôle du Conseil et de la Cour étant seulement consultatif.
Ces institutions auront certainement leur place dans notre démocratie directe future, dotées du pouvoir (nouveau) de rejeter les mauvaises lois et les lignes budgétaires douteuses. C’est d’ailleurs une réforme très simple que le gouvernement actuel serait bien inspiré de mettre en place dès à présent, ne serait-ce que pour ramener le calme. Et puis, mettre fin au délire législatif, supprimer les dépenses débiles et les détournements donnerait un coup de fouet spectaculaire à l’économie de ce pays qui en a bien besoin.
Rédigé par : Jean Michel Thureau | lundi 07 jan 2019 à 09:52
Votre humour est le bienvenu dans un milieu où l'ironie lourdingue et le sarcasme répétitif ont remplacé l'esprit.
Signalons que Terra Nova est largement financé par des subventions, et que le reste de leurs ressources vient du "mécénat d'entreprise". Je serais curieux de voir la tronche des "entreprises". EDF ? SNCF ? La Poste ? Fleurons du capitalisme de connivence et du CAC 40, qui n'ont rien à refuser à l'Etat ? Les chiffres sont sur leur site, c'est eux-mêmes qui l'avouent.
A noter que le mécénat d'entreprise, niche fiscale permettant des exonérations d'impôt, ne peut profiter qu'à... l'Etat (eh oui, Bercy a prévu qu'une entreprise pouvait décider de "donner" de l'argent à l'Etat, un peu comme les citoyens soviétiques "offraient" des cadeaux à Staline), à l'achat d'un trésor national au profit d'un musée, à quelques autres récipiendaires auxquels Terra Nova ne peut être assimilé, et aux... associations reconnues d'intérêt général ou d'utilité publique, ne profitant pas à un cercle restreint de personnes.
D'où je conclus que Terra Nova bénéficie de ce dernier statut. Il est vrai que 5,7 millions de fonctionnaires, on ne peut pas dire qu'il s'agisse d'un cercle restreint de personnes.
Rédigé par : Robert Marchenoir | lundi 07 jan 2019 à 12:47
Le principe même de droits de succession est à condamner car il s'agit ni plus ni moins d'un vol de propriété par l’Etat lorsque la dite propriété a été honnêtement acquise par le fruit du travail. Il est scandaleux que l’on ne puisse disposer comme on l’entend de ses biens quant à leur transmission y compris à des personnes extérieures à notre famille sans que les héritiers aient de comptes à rendre à l’Etat. Toujours ce dogme égalitariste héritier des « Lumières » et du socialo-communisme le plus dogmatique (à ne pas confondre et ce en aucun cas avec notre solidarisme qui même s’il « péchait » par certains côtés par idéalisme n’est jamais tombé dans ces aberrations).
Il faut enfin savoir que ce principe liberticide est à la source de nombreuses fermetures d’entreprises dont les défunts patrons qui n’avaient pas d’enfants n’ont pu léguer leurs sociétés à des tiers (en général des cadres qui avaient fait leurs preuves), ces derniers n’ayant pas la possibilité de s’acquitter de ce racket, disparitions d'entreprises entrainant de fait des pertes d’emplois.
Rédigé par : RR | lundi 07 jan 2019 à 14:59
http://www.fdesouche.com/1136767-paris-une-video-dun-homme-boxant-des-gendarmes-a-mains-nues-fait-le-buzz
Un témoignage poignant
Je pense à cette dame âgée tuée, à sa fenêtre au 4ème étage en fermant ses volets. par un tir de Balle de Défense des forces de police. Selon les médias
Je pense à cette femme qui demandait à sortir du périmètre des Champs Élysées : elle reçue une Balle de Défense par tir tendu à 2 mètres. Fiorina a perdu son oeil gauche, elle a 20 ans.
Je pense aussi aux manifestants tués par des automobilistes. Certains dont
l'adrénaline fut vraisemblablement llibérée par les accusations de l'exécutif de blocage subversif des voies. Car je ne vois pas des Gilets Jaunes se précipiter sous les roues de ces véhicules, aux barrages filtrants.
Et aux malheureux qui ont perdu une main en ramassant une grenade.
L'exécutif aura tout fait depuis le début pour que les Gilets Jaunes deviennent violents - il n'a pas réussi - en donnant des consignes de violence aux forces de l'ordre : selon https://france-police.org
Ces fusils de Balle de Défense et de grenades sont des armes et ne devraient être utilisés contre des manifestants pacifiques. Ni des blindés d'ailleurs.
Rédigé par : Dominique | lundi 07 jan 2019 à 15:39
Vous avez mille fois raison d'aligner le discours égalitaire des technocrates français avec celui de Cuba. Et dans les deux pays les peuples s'indignent pareillement .... mais nous sommes plus fort ::
https://www.breitbart.com/latin-america/2019/01/07/cubans-outraged-luxury-life-fidel-castros-grandson/
http://www.est-et-ouest.fr/chronique/2015/150702.html
Y a t il des droits de sucession à Cuba ? Et à 30 $ de revenus mensuels je ne sais si le peuple aurait les moyens de les payer. La fortune de Fidel Castro évaluée récemment à 900 millions de $ n'a certainement pas supporté de droits de sucession et son fils préféré Tony ne doit pas payer l'ISF.
En ce moment les Cubains dissidents sont outragés et le disent dans une campagne !
En France nous faisons mieux car cela ne se voit pas : lors du quinquennat de Hollande on a pu lire que ses retraites s'élèveraient toutes confondues à 35.000 euros par mois (hors avantages en nature voiture chauffeur secrétariat etc) soit 420.000 euros par an.
Ce qui reviendrait à une " fortune invisible, ou cachée " de 42 MILLIONS placés au taux net de 1 / 100 !
Pour toucher une retraite par capitalisation de même montant un salarié ou entrepreneur du secteur privé devrait avoir constitué réellement, par son travail, une trésorerie de 42 millions ... net après charges taxes et impôts !
Les énarques ont donc inventé la RETRAITE par CAPITALISATION INVISIBLE (et non inscrite dans la dette du pays ). Ce sont des champions pour faire du social ... pour eux !
Des G J remettent en cause ces rémunérations et retraites des politiques et des corps de l'administration exorbitantes :
Gilets Jaunes et Dissidents Cubains même combat :-)
Rédigé par : Dominique | lundi 07 jan 2019 à 20:19
@ carel wijngaards
Pas de problème en effet, si ça leur convient et qu’ils ne viennent pas chez nous imposer leur modèle. L’ennui, c’est que ce dernier se propage ici non pas par eux mais par des personnalités de chez nous chez qui il a déteint. Pour la Corée du Nord je ne sais pas, mais pour Chavez on a Jean-Luc Mélenchon, etc. …sans oublier les évangélistes américains qui nous contaminent de leurs inepties, en j’en oublie. Donc, il faut assurer une riposte.
Les solidaristes qui une fois encore ont sans doute trop versé dans le romantisme n’en ont pas moins été toujours très prudents quant aux « modèles de références » exotiques et peu « adaptables » à nos mentalités, ce qui n’empêchait pas les sympathies éventuelles.
Rédigé par : RR | lundi 07 jan 2019 à 21:14
@ Dominique
Les Gilets jaunes ont causé la mort de dix personnes lors de leur "mouvement".
La quasi-totalité de ces tués l'ont été sur des barrages routiers. La plupart sont des usagers de la route. Deux, de mémoire, sont des Gilets jaunes.
Les Gilets jaunes sont pleinement et entièrement responsables d'au moins 9 de ces tués. S'ils n'avaient pas fait ces barrages routiers, s'ils ne les avaient pas faits en dépit du bon sens, s'ils ne les avaient pas maintenus la nuit, ce qui garantissait pratiquement des accidents, ces 9 personnes seraient encore en vie. Y compris les deux Gilets jaunes, que leur bêtise et leur vilenie n'exonèrent pas de leur responsabilité.
Si les Gilets jaunes n'avaient pas enchaîné les actes de violence et d'agression envers les policiers, faisant dire à plusieurs de ces derniers qu'il y avait eu véritable volonté de meurtre, il n'y aurait peut-être pas eu cette mort accidentelle d'une vieille dame à sa fenêtre, provoquée par un tir policier.
Le miracle est qu'il n'y ait pas eu de morts provoquées par des actions policières délibérées. Les forces de l'ordre se sont montrées d'une retenue exemplaire eu égard à ce qu'elles ont dû affronter.
Normalement, nous aurions dû avoir un onzième mort, un mort de sa propre bêtise abyssale : l'un de cette douzaine d'abrutis qui ont tiré pendant une demi-heure sur les grilles de trois mètres de haut des Tuileries, avant de se faire écraser en les prenant sur la figure.
Déclaré "entre la mort et la vie" à son entrée à l'hôpital, il a fini par en sortir vivant, en s'enfuyant, pour échapper à la police. Laquelle vient de le rattraper.
C'est un témoignage de l'avilissement moral de la population française que les Gilets jaunes osent, après avoir tué ces neuf ou dix personnes, venir maintenant pleurnicher sur leur sort, prétendre leur "rendre hommage", planter des petites bougies comme n'importe lequel de ces "bobos" qu'ils aiment tant à vilipender.
C'est une illustration exemplaire de l'irresponsabilité totale qui a envahi une bonne part de la population. Non seulement c'est notre droit de vous emmerder, non seulement on va vous emmerder jusqu'à la garde, non seulement on va vous insulter et vous menacer de mort en réclamant que l'Etat nous donne votre argent, mais lorsqu'on aura réussi à vous tuer, eh bien on vous volera jusqu'à votre mémoire en osant pleurer "nos morts".
Les communistes soviétiques et les nazis ont certes tué davantage de gens, mais je ne suis pas sûr qu'ils soient allés aussi loin dans l'ignominie purement morale. Ni les uns ni les autres, que je sache, n'ont prétendu "rendre hommage" aux Juifs et aux "ennemis du peuple soviétique" qui avaient été tués par on ne sait qui, mais certainement pas par eux.
C'étaient des assassins, mais au moins ils revendiquaient leurs crimes. La France est devenu un pays tellement infecté de socialisme jusqu'au trognon, que les Gilets jaunes estiment avoir le "drouâ" de barrer les routes, passke, parce que moi je suis "en colère" et que donc je suis une pauvre victime, en conséquence de quoi tout ce qui se passe ultérieurement n'est plus de ma responsabilité, démerdez-vous.
Si des gens meurent à cause de mes actions imbéciles et illégales, eh bien ce sera la faute de l'Etat, de Macron, de sa femme -- voire des "Rothschild", suivez mon regard.
Il est impensable de donner une parcelle de pouvoir politique à des gens aussi profondément vicieux dans leur tête.
Rédigé par : Robert Marchenoir | mardi 08 jan 2019 à 00:11
@ Robert Marchenoir
Je m’attendais à une réplique de votre part au message de Dominique.
Si, si, si… Avec des si on referai t le monde.
Et moi je vous dirai que si en 2017 la clique politico-médiatique n’avait pas de façon la plus dégueulasse démoli le candidat Fillon au profit du sien parrainé entre autres par une famille que vous semblez apprécier, on n’en serait pas là.
Vous dites (entre autres) : « Le miracle est qu'il n'y ait pas eu de morts provoquées par des actions policières délibérées. Les forces de l'ordre se sont montrées d'une retenue exemplaire eu égard à ce qu'elles ont dû affronter. » (sic)
Les victimes d’un Commandant de police qui s’était d’ailleurs déjà illustré par le passé en frappant un de ses propres collègues et récemment décoré (il est vrai d’une distinction napoléonienne) apprécieront, de même que toutes les autres. Il est plus que temps que la Justice s’il y en a encore une dans ce pays (ce dont je doute) fasse son travail, et ce pour TOUS les actes inqualifiables aussi bien ceux commis par les racailles contre pompiers, gendarmes et policiers que ceux commis par ces deux dernières catégories envers des innocents.
Enfin, le fait que vous passiez tout votre temps – à l’évidence des journées entières – à invectiver (sur Internet s’entend) ceux qui ne pensent pas comme vous sur des dizaines de plates-formes explique en partie votre hostilité ou en tout cas votre indifférence au sort des Gilets jaunes. Tout le monde aura compris ce à quoi je fais allusion.
Rédigé par : RR | mercredi 09 jan 2019 à 02:04