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mercredi 20 fév 2013

Commentaires

Jean-Baptiste Aubry

Le Marxisme se construit comme la critique du libéralisme Smithiens en proposant dans ce cadre de réfections, l'alternative communiste. Par son fondement intellectuelle, le Marxisme souffre en corollaire des mêmes erreurs d'analyses sur les mécaniques économiques que Smith.

Le Keynésianisme prend l'analyse des mécanismes économiques sous l'angle opposé à Smith (La demande crée son offre, le marché n'est pas une garantie d'autorégulation et l'état doit intervenir quand c'est nécessaire) mais ne se veut surtout pas Marxiste dans ses conclusions ! Les socialistes européens (et Français) ont retenu de cette analyse que ce qu'ils leur semblaient bien pratique pour se justifier d'une vision économique. Cependant, Keynes doit se retourner dans sa tombe vis à vis des décisions économiques faites en son nom ou à la lecture de cette article. Les états ne sont absolument pas intervenus faces aux défaillances des marchés (serions nous dans des crises économiques sinon ?), n'ont pas plus fait acte de volontés Keynésianistes (comme mettre de l'investissement public là où c'est nécessaire pour l'avenir, mais que le marché ne fera pas par ses limitations à court-terme, comme le nucléaire à une époque, le ferroviaire, l'éducation de masse, le sanitaire...). Aujourd'hui, ils se limitent à faire des chèques avec l'argent d'autrui pour remporter des élections.

Keynes est surtout tué par ceux qui usurpent son nom et non par la faiblesse de son analyse. Evidemment, aucune analyse économique n'est à l'épreuve du temps et ne peut être absolue.

Philippe JOSSELIN

Déclaration péremptoire de Thomas Philippon, professeur d’économie à l’université de New York et membre depuis juin 2012 cabinet du ministre des Finances Pierre Moscovici : “À court terme, les diminutions de dépenses publiques ont un effet plus récessif que les hausses d’impôts” (www.acteurspublics.com, article en date du 12 octobre 2012). Tout est dit...

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