Ma Photo

Présentation de l'Insolent

  • Le site de L'Insolent est alimenté en toute liberté par les chroniques d'actualité sociale, culturelle, économique et politique rédigées par JG Malliarakis.

Puisque vous aimez l'Insolent

Contact

« De quel "scénario grec" parle-t-on ? | Accueil | La surtaxation de 75 % atteindra seulement Jean Dujardin »

lundi 27 fév 2012

Commentaires

Curmudgeon

Budgétairement, ça fait longtemps que nous sommes dans l'équivalent d'un état de guerre. Autrefois, on avait recours au déficit budgétaire et à l'emprunt surtout pour financer des guerres. C'est très net dans l'histoire des Etats-Unis depuis leur fondations jusque vers le milieu des années soixante, donc pendant 200 ans. Malgré quelques épisodes de peu de vertu, l'idée (de bon sens) était qu'on devait s'efforcer d'équilibrer le budget, voire de dégager des surplus, dans les périodes normales. A partir du moment où les idées keynesiennes ont connu un ascendant sur les politiques, ces derniers se sont vus encouragés à leur propension à l'irresponsabilité (à l'Etat, nous a-t-on seriné avec hauteur, ne s'appliquent pas du tout les règles que doivent respecter les individus familles ou sociétés), le tout favorisé par la démagogie "démocratique et "républicaine", pour reprendre les termes sacrés (et parfois fumeux) de certaines des citations ci-dessus. Qui oserait s'en offusquer sans paraître hostile à la "justice sociale" ?

Hermès

L'actuelle majorité prend donc des positions libérales fortes. M. Acoyer ne saurait être une vigie solitaire qui voit à l'horizon la nécessité des réformes ... ; il est tout à fait dans le cockpit gouvernemental, à la barre et aux écoutes avec les autres membres du Palais et de Matignon. Ses propos sont donc une preuve que petit à petit, les idées de M. Thatcher et R. Reagan font leur chemin en France : mieux vaut tard que jamais, mais n'est ce pas un peu tard pour faire passer le message, c'est à dire le faire comprendre et accepter ?

Casser les syndicats : oui, mais aussi les autres " corps intermédiaires " qui ne font pas leur travail : les Chambres des Métiers et les Chambres de Commerce notamment. Egalement et avant toute chose à mon avis facturer enfin (par quinzaine comme en clinique privée) les soins hospitaliers des HPAP au lieu de faire croire de façon imbécile à la g r a t u i t é des soins en hôpital,
libérer le monopole de la Sécu en matière d'assurance maladie en Ière instance,
et mettre en place des régimes de retraite par capitalisation.
Voici effectivement des réformes que ce gouvernement aura manqué de réaliser. Puisqu'il dit pourquoi il n'a pu le faire - certes il le dit tardivement mais il le dit ! - qu'il l'inscrive au programme de l'UMP.

Nous y croirons car on n'efface pas en 5 années plus de 10 années de gaullisme, 14 années d'affairisme, 14 années de gauchisme, puis 14 autres d'immpobilisme ; et aux cris de M. Nolande et de ses affidés, M. Sarkosi n'aura qu'à répondre par cette phrase du président Reagan : " N' attendez pas de l'Etat qu'il résolve vos problêmes, car le problême c'est l'Etat. "

Emile Koch

Hermès dit : "des positions libérales"... il entrevoit Thatcher...
La question est de savoir si ce sont des "positions" ou des postures...

Hermès

Vous m'honorez beaucoup cher Emile Koch. Permettez que je vous donne du " cher " puisque nous sommes entre libéraux - n'est ce pas ? - et que je suis sincère. Vous avez tapé dans l'Emile (Pierre Dac). Hermès - dieu des marchands - profite seulement de la possibilité d'écrire ici ses espoirs pour les hommes, sur terre.

Est ce une posture ou pas, that is the question ? Nous n'aurons pas la réponse d'aucun des " candida " et encore moins du candidat Nicolas, plus accaparé à séduire la Fifille à son papa qu'à résoudre la situation désastreuse du pays. Il fera mieux, je l'espère, en recourant plus tard à des remèdes de (Dame) de Fer : je vais voler une copie du film et la lui envoyer ?

Que les hommes fassent sonner leur voix intérieure sachant que toute question bien formulée est entendue Là-haut ; et que si les voies du Seigneur sont impénétrables, Elles sont Le Chemin comme l'explique si joliment Charles Gave, que vous avez cité, dans un opuscule : " Un libéral nommé Jésus ".

Pour le reste, dans cette bataille de polochons-élections, le petit
Nicolas doit s'aligner sur ladite posture-position s'il tient à partir en pole-position. Et aussi à arrêter de marquer la candidate " à la culotte " pour que sa pensée économique grandisse aux yeux libéraux. L'idéal est qu'il adopte le crédo de l'Insolent dont j'espère ne pas trahir ici la pensée : Liberté, Responsabilité, Propriété.

Vérifiez votre commentaire

Aperçu de votre commentaire

Ceci est un essai. Votre commentaire n'a pas encore été déposé.

En cours...
Votre commentaire n'a pas été déposé. Type d'erreur:
Votre commentaire a été enregistré. Les commentaires sont modérés et ils n'apparaîtront pas tant que l'auteur ne les aura pas approuvés. Poster un autre commentaire

Le code de confirmation que vous avez saisi ne correspond pas. Merci de recommencer.

Pour poster votre commentaire l'étape finale consiste à saisir exactement les lettres et chiffres que vous voyez sur l'image ci-dessous. Ceci permet de lutter contre les spams automatisés.

Difficile à lire? Voir un autre code.

En cours...

Poster un commentaire

Les commentaires sont modérés. Ils n'apparaitront pas tant que l'auteur ne les aura pas approuvés.

Vos informations

(Le nom et l'adresse email sont obligatoires. L'adresse email ne sera pas affichée avec le commentaire.)