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mercredi 14 nov 2007

Commentaires

Jacques Peter

Le monde est ouvert. Les pays sont en concurrence les uns avec les autres pour être compétitifs et attirer les talents et les capitaux.
Ailleurs les gouvernements se préoccuppent de cette compétition et conduisent les réformes pour améliorer l'éducation des jeunes, le rôle et la taille de l'Etat, la fiscalité, etc. Ils le font tous, qu'ils soient de gauche ou de droite, socialistes, conservateurs ou libéraux, tout simplement parce que c'est la condition de la survie. Sauf en France.

chastenet

entièrement d'accord avec le précédent commentaire, je vous invite à rejoindre la manifestation anti-blocage et pour les réformes de dimanche 18 novembre à 15h place de la République

Ghislaine

Merci pour ces propos justes.

A propos de la mise en place de la retraite par « répartition », en 1941 :
Cela se comprenait, à cette époque, puisque la France voulut, afin de se reconnaître, constituer à nouveau une patrie, au sens de la famille des familles.
La retraite par répartition était consubstantielle au projet de la solidarité intergénérationnelle, projet contenu dans celui de patrie, alliée au travail et à la famille.

Les choses ont évoluées, pas en bien, depuis que dans notre pays la patrie au sens de « famille des familles » a été écrasée par « l’autre nation » , celle de la révolution permanente, des (faux) droits de l'homme), etc. L'humanité cède, momentanément j’espère, le pas à l'inhumanité.

Il ne reste plus ainsi aux hommes de bonne volonté qu'à faire des économies pour leur propre et unique famille, sauf à voir le fruit de leur travail être confisqué pour être versé à d'autres pour qui la retraite n’est un moyen de vivre aux dépens d'autrui. Ces coucous vievent « plus et mieux » … et plus tôt que ceux qui bossent pour eux.
D’où la notion de retraite par « capitalisation » ; ardente obligation dès lors que les règles du jeu ne permettent plus la solidarité ; mais qu’une fausse solidarité, qui est devenue un slogan creux, à transformé la répartition en spoliation !

Lassalle

Bonjour,
Vous faite, avec juste raison mais avec mépris, remonter la "retraite par répartition" à la charte du travail instaurée par Pétain.
Or, à l'époque il n'y a que 20 ans que la guerre de 14-18 s'est terminée. une nouvelle génération arrive sur le marché du travail et les survivants des tranchées ont en moyenne 45 ans et nombreux sont ceux qui ne peuvent plus travailler. En 1941, les jeunes en âge de travailler sont sous les drapeaux. La France est occupée. Il me semble que dans ce contexte l'institution de la retraite par répartition n'était pas une mauvaise solution. Ce que l'on peut regretter c'est que au cours des "trente glorieuses" elle n'est pas été remplacée.

Petite réponse
Je le fais sans "mépris" : je le fais objectivement, sachant d'ailleurs (et je l'ai écrit) les conditions de l'époque.

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