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lundi 13 août 2007

Commentaires

gros chat

On ne peut pas plus imposer en Irak la modernité au sens où nous l'entendons que l'on ne peut y importer la démocratie. On pourrait faire des remarques du même ordre concernant le kémalisme. Faire abstraction des mentalités est une grave erreur, hélas très commune. La domination économique de l'occident a sans doute aidé à faire illusion, laissant penser aux occidentaux qu'ils seraient imités en tout. Ce n'est que manifestation éthnocentriste et oubli des leçons de l'Histoire, souvent accompagnés de suffisance voire d'arrogance.

Nicolas

On pourrait aussi gloser sur les inconséquences d'une politique monétaire qui persiste dans ses erreurs, malgré toutes les crises successives causées par l'impéritie de nos gouvernants et de leurs financiers. N'est-il pas étonnant en effet d'entendre les politiques jouer les redresseurs de conscience après chaque coup de grisou sur les marchés financiers, alors qu'ils sont les premiers à encourager le marché lucratif des titres de dette et de leurs produits dérivés. Les banques comme les gouvernements ont massivement recours au refinancement par l'endettement. Les banques se refinancent en vendant au marché des titres de dette basés sur les actifs de leur bilan comme l'État prend la richesse de la nation en otage pour emprunter toujours plus. C'est ainsi que l'on crée sans fin des liquidités sur un marché déjà surchargé en titres de crédit. Jusqu'au moment où la misère de l'économie réelle et des administrés devient impossible à cacher. Les investisseurs sont alors saisis de panique et plus personne ne souhaite rattraper au vol les patates chaudes envoyées par les banques aux vendeurs de couverture du risque crédit. Il devient impossible d'évaluer des actifs qui perdent toute valeur de marche, malgré tous les modèles censés évaluer leur valeur marchande. Souhaitons que la débandade n'aille pas trop loin, car le public ne sait encore rien des milliards d'actifs bidon inscrits par les banques dans leur bilan (et hors bilan avec les opérations de marche sophistiquées sur les dérivés de crédit). Craignons pourtant d'assister un jour pas très lointain à la ruée sur les guichets de banques institutionnelles menacées de faillite parce que les injections des banques centrales ne suffiront pas à combler les trous béants laisses par les actifs fictifs - je veux dire mathématiques - des banques.

minvielle

Franchement, j'ai pas tout compris dans ce que vous écrivez, mais moi, j'irai pas manger des hamburgers avec Bush si c'était pas un pote, parce qu'on est loin de notre gastronomie, quand même! Washington vaut bien une viande prémâchée dans de la brioche. Et puis on devrait plutôt les mettre, eux, à notre régime, en douceur, bien sûr. PMS.

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