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jeudi 07 juin 2007

Commentaires

Yann

Le bipartisme imposé par le haut precipitera nombre de citoyens jouant encore plus ou moins le jeu biaisé de la délabrocratie dans le terrorisme et l'anarchie, je serais sans doute de cette cohorte n'ayant rien à voir et rien à vouloir faire avec les européistes pro-mosquée, pro-avortement, pro-immigration, pro-métissage de l'ump. Tout en sachant que le gouverneur Français ne fera rien contre la racine du mal Français et Européen, son populisme et sa démagogie allié à sa toute puissance médiatique et au système électoral inique de la France, aideront à le maintenir 10 ans à la barre du Pays, un délai suffisant pour en détruire définitivement toute indépendance et ce qu'il en reste de typiquement Français. Les temps actuels sont douloureux pour ceux qui aiment ce Pays et qui ne croient pas à la loghorée sophiste et pauvre d'avenir du bateleur de foire en chef. @ J.G : Sur quels points de son programme ou de ses intentions voyez-vous en sarkozy une promesse de rupture au-delà de la propagande et de la logique de prise du pouvoir ?

Erik

Je rebondis sur votre note N° 1. Parmi les armes de destruction massive du terrorisme intellectuel communiste figure également le mot « nazi », abondamment utilisé… sauf s’agissant du pacte germano-soviétique, que l’on a curieusement évité d’appeler « pacte soviéto-nazi » !

Georges

Cher Jean-Gilles, je souscris intégralement à ta dernière phrase : "où qu'on s'exprime entre Dunkerque et Perpignan, on doit voter pour le candidat le plus proche, le plus représentatif de ses opinions", car si la démocratie est pour moi une absurdité sémantique (le peuple n'ayant pas une personnalité monolithique, son prétendu pouvoir n'a aucune signification), elle a un atout considérable, elle permet, dans le principe, à chacun d'exprimer si ce n'est une opinion, du moins une préférence. Je ne crois pas -- pour les raisons précédentes -- à l'élu du "peuple", mais je crois que la ploutocratie (cf la définition d'E. Renan qui me convient assez) qui nous gouverne peut être influencée par ces votes, s'ils dénotent un certain poids. Quant à la naïveté des nationaux -- pas nécessairement nationalistes -- j'en suis parfaitement d'accord ; pour ma part, je professe un certain pessimisme, considérant que le pessimiste est heureux puisqu'il ne peut être surpris que par un événement heureux ! D'aucuns objectent que l'optimiste est mû par son espoir, ce qui peut expliquer l'action des responsables politiques qui, à l'instar de Sisyphe puni, se présentent et se représentent sans se lasser aux suffrages de leurs concitoyens, avec plus ou moins de succès.
Quoi qu'il en soit, je ne crois, en aucune façon, à une inflexion du chef de l'UMP, dans le sens de la droite nationale, chrétienne -- pour ne pas dire catholique -- éprise de liberté, de responsabilité et assumant fièrement un héritage plus que millénaire, de manière à participer activement à une progression de la civilisation, qui déborde largement le cadre matériel.
Je répète que Sarkozy, est un arriviste, adepte du libéralisme économique, du libéralisme moral (mais pas de la liberté), insensible à la France des terroirs, des villages et des clochers, disciple des penseurs socialistes du XIXè et du XXè, même si son libéralisme économique s'accorde mal aux idéologies égalitaires. Ses premières actions en tant que chef de l'Etat ont abondamment montré sa capacité à utiliser les techniques du faire savoir, ses capacités de manoeuvrier, et son adéquation aux fondements du politiquement conforme.
Cordialement,
Georges

gros chat

En France, le bipartisme correspond à des joutes entre machines électorales, surfant sur les vagues émotionnelles de l'opinion publique, à grands renforts de conseils en communication. Le tout hyper-médiatisé. Il y a convergence d'intérêt et donc tacitement consensus pour ne pas prendre le risque d'élever le débat, ainsi la médiocrité favorisant la médiocrité, la démagogie s'installe, croît et prospère. La démagogie de cette médiacratie politique semble n'avoir aucune de limite.

Il faudrait analyser finement les institutions britanniques pour voir en quoi elles n'ont pu autant dérivé. Mais la culture a aussi sa part : les britanniques se soucient de leurs intérêts, tandis que beaucoup de Français confondent leurs préoccupations universalistes avec l'abandon de souveraineté. Tendre à l'universel, c'est d'abord donner l'exemple, ce ne devrait pas être niveler par le bas.

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